Le philosophe sénégalais Souleymane Bachir Diagne a soutenu que pour la construction d’une Afrique libre et unie « il n’y aura pas un fédérateur en Afrique mais un mouvement fédérateur pour l’avenir de la culture africaine dans le monde ». Il a expliqué que « notre responsabilité c’est de poser dans le monde notre présence africaine selon le domaine de tout un chacun. L’expression Présence Africaine s’adresse à toute la jeunesse du continent ».
Selon Moustapha Tambédou secrétaire général de la commission sénégalaise pour l’UNESCO, « nous invitons donc les ainés et les jeunes à réfléchir, une nouvelle fois et ensemble, sur les moyens de construire, dans la solidarité, l’Afrique qui nous rendrait fiers d’elle ».
Quant au recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), Abdou Salam Sall il a demandé d’allier la parole au geste. Ainsi l’institution qu’il dirige va ouvrir un master pour former des cadres dans le domaine de l’intégration africaine. Il a aussi demandé à cette jeunesse d’être forte car elle est l’avenir de ce continent.
Tous les participants ont demandé un renouvellement de ces genres de rencontre afin d’instaurer beaucoup plus de dialogue entre les chercheurs et les hommes de culture africaine dans le but d’entretenir les espérances et restituer à ce continent la maitrise de son génie.
Selon Moustapha Tambédou secrétaire général de la commission sénégalaise pour l’UNESCO, « nous invitons donc les ainés et les jeunes à réfléchir, une nouvelle fois et ensemble, sur les moyens de construire, dans la solidarité, l’Afrique qui nous rendrait fiers d’elle ».
Quant au recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), Abdou Salam Sall il a demandé d’allier la parole au geste. Ainsi l’institution qu’il dirige va ouvrir un master pour former des cadres dans le domaine de l’intégration africaine. Il a aussi demandé à cette jeunesse d’être forte car elle est l’avenir de ce continent.
Tous les participants ont demandé un renouvellement de ces genres de rencontre afin d’instaurer beaucoup plus de dialogue entre les chercheurs et les hommes de culture africaine dans le but d’entretenir les espérances et restituer à ce continent la maitrise de son génie.