Jean-Claude Kassi Brou a précisé que l'activité économique de l’UEMOA demeure dynamique, avec une prévision de croissance du PIB réel de l'Union à 6,2% pour l’année 2024, contre 5,3% en 2023. Il a également ajouté que le PIB devrait continuer sur cette trajectoire positive, avec un taux de croissance prévu de 6,3% en 2025. Selon lui, cette performance économique est portée par une forte contribution des secteurs extractifs, manufacturiers et agricoles.
Un autre facteur clé de ce dynamisme économique est l’augmentation des crédits bancaires au secteur privé. En effet, informe la BCEAO, les crédits ont connu une hausse de 6,3% en fin décembre 2024, par rapport à une augmentation de 5,8% à fin septembre 2024. Le gouverneur de la BCEAO prévoit que cette tendance continue en 2025, avec une hausse des crédits bancaires attendue à 8,6%.
En ce qui concerne l'inflation, la situation s'est améliorée au quatrième trimestre de 2024, avec un taux d'inflation de 2,9%, en baisse par rapport à 4,1% au trimestre précédent. Cette détente des prix, rappelle la BCEAO, a été largement favorisée par la réduction des coûts des produits alimentaires et énergétiques importés. Les meilleures récoltes de la campagne vivrière 2024-2025, ont aussi contribué à alléger les pressions sur les prix.
Pour l'année 2025, l’inflation devrait se stabiliser autour de 2,7%, après une estimation de 3,5% en 2024. Ce qui marque une tendance favorable à la modération des prix dans la région.
Cependant, Jean-Claude Kassi Brou a souligné que des risques subsistent, notamment la persistance de pressions inflationnistes et de vulnérabilités économiques. Il a mentionné les risques d'une résurgence des pressions sur les prix en raison de facteurs externes tels que l’instabilité sécuritaire dans la sous-région et l'impact du changement climatique. Ces éléments pourraient affecter négativement l'équilibre économique de la région.
En dépit des risques liés à la situation sécuritaire et climatique, la BCEAO reste optimiste quant à la trajectoire économique de l'UEMOA. Avec un PIB prévu en croissance de 6,3% en 2025 et un contrôle relatif de l'inflation, l'UEMOA semble bien positionnée pour continuer son développement économique.
Un autre facteur clé de ce dynamisme économique est l’augmentation des crédits bancaires au secteur privé. En effet, informe la BCEAO, les crédits ont connu une hausse de 6,3% en fin décembre 2024, par rapport à une augmentation de 5,8% à fin septembre 2024. Le gouverneur de la BCEAO prévoit que cette tendance continue en 2025, avec une hausse des crédits bancaires attendue à 8,6%.
En ce qui concerne l'inflation, la situation s'est améliorée au quatrième trimestre de 2024, avec un taux d'inflation de 2,9%, en baisse par rapport à 4,1% au trimestre précédent. Cette détente des prix, rappelle la BCEAO, a été largement favorisée par la réduction des coûts des produits alimentaires et énergétiques importés. Les meilleures récoltes de la campagne vivrière 2024-2025, ont aussi contribué à alléger les pressions sur les prix.
Pour l'année 2025, l’inflation devrait se stabiliser autour de 2,7%, après une estimation de 3,5% en 2024. Ce qui marque une tendance favorable à la modération des prix dans la région.
Cependant, Jean-Claude Kassi Brou a souligné que des risques subsistent, notamment la persistance de pressions inflationnistes et de vulnérabilités économiques. Il a mentionné les risques d'une résurgence des pressions sur les prix en raison de facteurs externes tels que l’instabilité sécuritaire dans la sous-région et l'impact du changement climatique. Ces éléments pourraient affecter négativement l'équilibre économique de la région.
En dépit des risques liés à la situation sécuritaire et climatique, la BCEAO reste optimiste quant à la trajectoire économique de l'UEMOA. Avec un PIB prévu en croissance de 6,3% en 2025 et un contrôle relatif de l'inflation, l'UEMOA semble bien positionnée pour continuer son développement économique.
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