Mamadou DIA, Chef de la Division des Sciences humaines et sociales à la Commission nationale pour l'UNESCO/PHO/Ibrahima Mansaly
La Commission nationale pour l’UNESCO avec l’appui du Bureau régional multisectoriel pour l’Afrique de l’Ouest/Sahel de l’UNESCO à Dakar a organisé ce matin un atelier sur la promotion et la vulgarisation du site d’autoformation des cours modulaires tirés du Manuel de référence de la CEDEAO pour l’Education à la Paix, aux Droits Humains et à la Citoyenneté. La rencontre s’est tenue à l’E.N.F.E.F.S. (Ecole Nationale de Formation en Economie Familiale et Sociale) sis à l’Avenue Malick SY angle COSEC.
Selon Mamadou DIA, Chef de la Division des Sciences humaines et sociales à la Commission nationale pour l'UNESCO, "ce manuel de référence de la CEDEAO a été conçu par des experts des systèmes d’éducation de la Sous Région. Tous les pays étaient représentés. Il y a eu beaucoup de phases de conception et de validation qui se sont tenues à Dakar, à Lomé, et à Ougadougou où a été organisée la validation technique. Il s’en est, par la suite, suivi la validation institutionnelle par le ministre chargé de ces questions. C’est après ce processus, qu’il y’a eu sept modules qui ont été déclinés dans ce manuel, mis en ligne. Et l’UNESCO a donc demandé à ce qu’il ait une vulgarisation du site d’autoformation des cours modulaires tirés de ce manuel de référence de la CEDEAO".
Les sept modules évoquent différents thèmes à savoir respectivement : Culture de la Paix, Prévention et Gestion des conflits, Droits Humains, Citoyenneté et Civisme, Démocratie et Bonne Gouvernance, Genre, Perspective de Paix et Développement, Santé Publique, Environnement et Développement Durable. Et enfin le dernier thème porte sur l’intégration Régionale.
Cette rencontre se tient au moment où la problématique des Droit Humain se pose avec acuité à travers déjà les conflits, par exemple au Mali, au Nigéria, au Tchad, en République Centre Africaine (RCA), etc.
Dans la foulée, il faut souligner que la vision de la CEDEAO est de créer une région sans frontières, prospère, où règne la paix et l’harmonie, s’appuyant sur une bonne gouvernance, et où les populations peuvent avoir accès aux énormes ressources et les mettre en valeur, à travers la création d’opportunité pour un développement durable de la prévention de l’environnement.
A cette rencontre ont pris part plusieurs autorités. Entre autres : Les mouvements de jeunes, des groupements de femmes, des forces de sécurité, des journalistes, des enseignants et des membres de la société civile.
Selon Mamadou DIA, Chef de la Division des Sciences humaines et sociales à la Commission nationale pour l'UNESCO, "ce manuel de référence de la CEDEAO a été conçu par des experts des systèmes d’éducation de la Sous Région. Tous les pays étaient représentés. Il y a eu beaucoup de phases de conception et de validation qui se sont tenues à Dakar, à Lomé, et à Ougadougou où a été organisée la validation technique. Il s’en est, par la suite, suivi la validation institutionnelle par le ministre chargé de ces questions. C’est après ce processus, qu’il y’a eu sept modules qui ont été déclinés dans ce manuel, mis en ligne. Et l’UNESCO a donc demandé à ce qu’il ait une vulgarisation du site d’autoformation des cours modulaires tirés de ce manuel de référence de la CEDEAO".
Les sept modules évoquent différents thèmes à savoir respectivement : Culture de la Paix, Prévention et Gestion des conflits, Droits Humains, Citoyenneté et Civisme, Démocratie et Bonne Gouvernance, Genre, Perspective de Paix et Développement, Santé Publique, Environnement et Développement Durable. Et enfin le dernier thème porte sur l’intégration Régionale.
Cette rencontre se tient au moment où la problématique des Droit Humain se pose avec acuité à travers déjà les conflits, par exemple au Mali, au Nigéria, au Tchad, en République Centre Africaine (RCA), etc.
Dans la foulée, il faut souligner que la vision de la CEDEAO est de créer une région sans frontières, prospère, où règne la paix et l’harmonie, s’appuyant sur une bonne gouvernance, et où les populations peuvent avoir accès aux énormes ressources et les mettre en valeur, à travers la création d’opportunité pour un développement durable de la prévention de l’environnement.
A cette rencontre ont pris part plusieurs autorités. Entre autres : Les mouvements de jeunes, des groupements de femmes, des forces de sécurité, des journalistes, des enseignants et des membres de la société civile.