L'Unicef a célébré ce mercredi 5 décembre 2018 ses soixante (60) ans de combat pour les droits de l’enfant au Sénégal.
Cet anniversaire a permis à Laylee Moshiri représentante de l'Unicef au Sénégal de rappeler que : « les enfants doivent être au cœur du développement, plus de considération pour qu’ils puissent grandir, atteindre toutes les potentiels pour être les citoyens d’aujourd’hui et de demain. Même s'il y a des défis, ensemble, avec des stratégies bien réfléchies, des innovations et surtout l’implication de tous les acteurs et le leadership du gouvernement, on peut arriver à les relever ».
Partenaire de l’Etat du Sénégal, l'Unicef a également des programmes de coopération basés sur les priorités de l’Etat. Il compte démarrer un nouveau programme dès 2019 pour prendre en charge tous les enfants. Mais, il ne pourra réussir son pari sur l'équation de la mendicité des enfants qu'avec les différentes couches de la population et surtout les chefs religieux.
Venue représenter le gouvernement, Ramatoulaye Gueye, ministre de la Bonne gouvernance et de la Protection de l'enfant a salué la présence active de l'Unicef dans plus de 190 pays. Ce qui est, selon elle, une éclatante illustration d'une implication sur la question des droits de l'enfant, préoccupation qu'il partage avec le gouvernement.
Ainsi, rappelle la ministre, "le Plan Sénégal émergent, dans ses priorités, en son axe 2 et 3, renforce les services à l’éducation, à la santé, à la nutrition qui en effet, rentrent dans le cadre de la convention internationale des Droits de l’enfant."
A l'en croire, le Sénégal mettra tout en œuvres pour atteindre les résultats fixés
Cet anniversaire a permis à Laylee Moshiri représentante de l'Unicef au Sénégal de rappeler que : « les enfants doivent être au cœur du développement, plus de considération pour qu’ils puissent grandir, atteindre toutes les potentiels pour être les citoyens d’aujourd’hui et de demain. Même s'il y a des défis, ensemble, avec des stratégies bien réfléchies, des innovations et surtout l’implication de tous les acteurs et le leadership du gouvernement, on peut arriver à les relever ».
Partenaire de l’Etat du Sénégal, l'Unicef a également des programmes de coopération basés sur les priorités de l’Etat. Il compte démarrer un nouveau programme dès 2019 pour prendre en charge tous les enfants. Mais, il ne pourra réussir son pari sur l'équation de la mendicité des enfants qu'avec les différentes couches de la population et surtout les chefs religieux.
Venue représenter le gouvernement, Ramatoulaye Gueye, ministre de la Bonne gouvernance et de la Protection de l'enfant a salué la présence active de l'Unicef dans plus de 190 pays. Ce qui est, selon elle, une éclatante illustration d'une implication sur la question des droits de l'enfant, préoccupation qu'il partage avec le gouvernement.
Ainsi, rappelle la ministre, "le Plan Sénégal émergent, dans ses priorités, en son axe 2 et 3, renforce les services à l’éducation, à la santé, à la nutrition qui en effet, rentrent dans le cadre de la convention internationale des Droits de l’enfant."
A l'en croire, le Sénégal mettra tout en œuvres pour atteindre les résultats fixés
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