Barack Obama et sa femme en soirée (Copyright © 2009 Reuters)
Les lampions des célébrations de l'investiture à peine éteints, le nouveau président américain réunit ce mercredi ses conseillers économiques pour travailler sur le plan de relance de 825 milliards de dollars qu'il souhaite voir adopter par le Congrès au plus tard à la mi-février.
Barack Obama veut agir vite, même s'il a multiplié les mises en garde ces derniers jours auprès de l'opinion publique en soulignant que le redressement de l'économie américaine ne se ferait pas en un jour.
Au programme de la réunion des experts économiques, le plan de relance et la réforme du système financier, pour laquelle son administration réfléchit à de nombreuses pistes.
Est notamment envisagée la création d'une banque publique qui reprendrait les actifs dévalués des banques américaines afin de redonner de la fluidité au marché du crédit.
Barack Obama doit également se concerter avec ses conseillers en politique étrangère sur les deux dossiers les plus brûlants à ses yeux, ceux de l'engagement militaire des Etats-Unis en Irak et en Afghanistan.
ACCÉLERER LE RETRAIT EN IRAK?
Il devrait enregistrer à ce sujet dans la journée la validation par le Sénat de la nomination d'Hillary Clinton au poste de secrétaire d'Etat.
Le président américain pourrait alors, comme l'a indiqué la presse, désigner l'ancien sénateur George Mitchell, instigateur des accords du Vendredi Saint en Irlande du Nord en 1998, comme son émissaire au Proche-Orient.
Obama réunira autour de lui le secrétaire à la Défense Robert Gates, unique rescapé de l'administration Bush, le chef d'état-major des armées Mike Mullen et le général David Petraeus, ancien commandant des forces américaines en Irak, qui rentrera juste d'Afghanistan.
Selon les quotidiens de Washington, le chef de la Maison blanche devrait solliciter l'avis des militaires sur une accélération du retrait des 140.000 soldats américains d'Irak, prévu par lui en seize mois maximum, et sur un renforcement de la force US en Afghanistan.
Seule ombre au tableau, Barack Obama entamera ses fonctions sans un secrétaire au Trésor. Tim Geithner, son choix pour le poste, attend du Congrès un feu vert qui tarde à venir en raison d'un arriéré d'impôts de l'intéressé.
Le futur grand argentier américain parle d'un malentendu et selon plusieurs sénateurs ce contretemps ne devrait pas empêcher à terme la désignation de Geithner.
Source: reuters
Barack Obama veut agir vite, même s'il a multiplié les mises en garde ces derniers jours auprès de l'opinion publique en soulignant que le redressement de l'économie américaine ne se ferait pas en un jour.
Au programme de la réunion des experts économiques, le plan de relance et la réforme du système financier, pour laquelle son administration réfléchit à de nombreuses pistes.
Est notamment envisagée la création d'une banque publique qui reprendrait les actifs dévalués des banques américaines afin de redonner de la fluidité au marché du crédit.
Barack Obama doit également se concerter avec ses conseillers en politique étrangère sur les deux dossiers les plus brûlants à ses yeux, ceux de l'engagement militaire des Etats-Unis en Irak et en Afghanistan.
ACCÉLERER LE RETRAIT EN IRAK?
Il devrait enregistrer à ce sujet dans la journée la validation par le Sénat de la nomination d'Hillary Clinton au poste de secrétaire d'Etat.
Le président américain pourrait alors, comme l'a indiqué la presse, désigner l'ancien sénateur George Mitchell, instigateur des accords du Vendredi Saint en Irlande du Nord en 1998, comme son émissaire au Proche-Orient.
Obama réunira autour de lui le secrétaire à la Défense Robert Gates, unique rescapé de l'administration Bush, le chef d'état-major des armées Mike Mullen et le général David Petraeus, ancien commandant des forces américaines en Irak, qui rentrera juste d'Afghanistan.
Selon les quotidiens de Washington, le chef de la Maison blanche devrait solliciter l'avis des militaires sur une accélération du retrait des 140.000 soldats américains d'Irak, prévu par lui en seize mois maximum, et sur un renforcement de la force US en Afghanistan.
Seule ombre au tableau, Barack Obama entamera ses fonctions sans un secrétaire au Trésor. Tim Geithner, son choix pour le poste, attend du Congrès un feu vert qui tarde à venir en raison d'un arriéré d'impôts de l'intéressé.
Le futur grand argentier américain parle d'un malentendu et selon plusieurs sénateurs ce contretemps ne devrait pas empêcher à terme la désignation de Geithner.
Source: reuters
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