Des obstacles se posent pour la reprise des cours des étudiants de la FLSH. Omar Thiam, étudiant de ladite faculté, dénonce les conditions sur place et évoque le problème de logement « Pour les étudiants, avec ces conditions-là nous ne sommes pas encore prêts pour le démarrage des cours parce que y a beaucoup d’obstacles confrontés aujourd’hui pour le démarrage des cours. Parce qu’il y a les problèmes de logement également y a beaucoup d’étudiants qui n’ont pas de bourse », déplore-t-il.
Logement et bourse sont au centre des préoccupations avec la fermeture du campus social de l’Ucad, même ceux qui habitent la région de Dakar ne sont pas épargnés des difficultés pour faire cours. Selon Ibrahima Diop étudiant de la faculté en question : « beaucoup d’étudiants se logent dans les quartiers un peu éloignés comme Keur Massar, Pikine entre autres, le déplacement pour venir assister au cours au Cices ou bien à Maurice de la Foss sera très difficile ».
La reprise pour les étudiants de la FLSH risque de se faire au compte-goutte à cause de la fermeture de l’Ucad et l’abandon de certains apprenants. Les logements sociaux sont actuellement désertés par les étudiants. Ceux qui sont présentement sur les lieux vaquent à d’autres préoccupations, rien ne laisse croire à une reprise des cours, rapporte Iradio.
« Psychologiquement, nous ne sommes pas encore prêts pour reprendre les cours», a laissé entendre Ibrahima. Tout porte à croire que les cours ne vont pas démarrer de sitôt ».
Au centre international de commerce extérieur du Sénégal (Cices), l’un des trois lieux choisis pour accueillir les séances de remédiation des étudiants, pas l’ombre d’un étudiant ni encore un endroit aménagé en ce sens.
Selon Iradio, le directeur du Cices demande de l'argent à l'Ucad avant toute chose.
Logement et bourse sont au centre des préoccupations avec la fermeture du campus social de l’Ucad, même ceux qui habitent la région de Dakar ne sont pas épargnés des difficultés pour faire cours. Selon Ibrahima Diop étudiant de la faculté en question : « beaucoup d’étudiants se logent dans les quartiers un peu éloignés comme Keur Massar, Pikine entre autres, le déplacement pour venir assister au cours au Cices ou bien à Maurice de la Foss sera très difficile ».
La reprise pour les étudiants de la FLSH risque de se faire au compte-goutte à cause de la fermeture de l’Ucad et l’abandon de certains apprenants. Les logements sociaux sont actuellement désertés par les étudiants. Ceux qui sont présentement sur les lieux vaquent à d’autres préoccupations, rien ne laisse croire à une reprise des cours, rapporte Iradio.
« Psychologiquement, nous ne sommes pas encore prêts pour reprendre les cours», a laissé entendre Ibrahima. Tout porte à croire que les cours ne vont pas démarrer de sitôt ».
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