Pour la première fois en deux mois, Kiev a été visée mercredi à l'aube par une attaque russe combinée de missiles et de drones. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a dénoncé une fois encore "le terrorisme russe" et salué la réponse "efficace" de la défense antiaérienne.
La capitale ukrainienne Kiev a été visée mercredi 13 novembre à l'aube par une attaque russe combinée de missiles et de drones, pour la première fois en deux mois, au moment où les Ukrainiens cèdent du terrain sur le front et craignent de perdre le soutien des États-Unis après l'élection de Donald Trump.
L'Ukraine a de son côté revendiqué l'assassinat, également mercredi, en Crimée annexée, d'un officier de la flotte russe de la mer Noire, qu'elle accuse justement d'avoir ordonné des frappes de missiles meurtrières sur ses villes.
L'attaque sur Kiev survient le jour où le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, a promis, à Bruxelles, une réponse "ferme" à l'engagement présumé nord-coréen aux côtés de la Russie dans la guerre en Ukraine.
Washington a corroboré les affirmations de Kiev selon lesquelles des troupes nord-coréennes sont désormais "engagées dans des opérations de combat" aux côtés des soldats russes dans la région russe de Koursk, dont une petite partie est occupée par les forces ukrainiennes depuis trois mois.
L'agence de renseignement sud-coréenne les a également confirmées, assurant que "les troupes nord-coréennes […] sont déjà engagées dans des opérations de combat" dans cette partie du territoire russe.
Plus de deux ans et demi après le début de l'invasion, l'armée russe bénéficie désormais du renfort de près de 11 000 militaires nord-coréens, d'après Kiev et les Occidentaux, ce que le Kremlin n'a pas formellement démenti.
La capitale ukrainienne Kiev a été visée mercredi 13 novembre à l'aube par une attaque russe combinée de missiles et de drones, pour la première fois en deux mois, au moment où les Ukrainiens cèdent du terrain sur le front et craignent de perdre le soutien des États-Unis après l'élection de Donald Trump.
L'Ukraine a de son côté revendiqué l'assassinat, également mercredi, en Crimée annexée, d'un officier de la flotte russe de la mer Noire, qu'elle accuse justement d'avoir ordonné des frappes de missiles meurtrières sur ses villes.
L'attaque sur Kiev survient le jour où le secrétaire d'État américain, Antony Blinken, a promis, à Bruxelles, une réponse "ferme" à l'engagement présumé nord-coréen aux côtés de la Russie dans la guerre en Ukraine.
Washington a corroboré les affirmations de Kiev selon lesquelles des troupes nord-coréennes sont désormais "engagées dans des opérations de combat" aux côtés des soldats russes dans la région russe de Koursk, dont une petite partie est occupée par les forces ukrainiennes depuis trois mois.
L'agence de renseignement sud-coréenne les a également confirmées, assurant que "les troupes nord-coréennes […] sont déjà engagées dans des opérations de combat" dans cette partie du territoire russe.
Plus de deux ans et demi après le début de l'invasion, l'armée russe bénéficie désormais du renfort de près de 11 000 militaires nord-coréens, d'après Kiev et les Occidentaux, ce que le Kremlin n'a pas formellement démenti.