En septembre, il n'y a pas eu un seul jour sans que les infrastructures énergétiques, les bâtiments résidentiels ukrainiens n'aient été touchés. La nuit dernière, c'est plus d'une centaine de drones dont 78 ont été interceptés selon les autorités ukrainiennes qui ont été lancés.
Pas de victimes mais des dégâts matériels
Ils n'ont pas fait de victimes, mais les dégâts matériels sont importants, des lignes électriques ont été endommagées dans la région d'Odessa au sud et dans l'ouest du pays également, à Poltava ce sont six bâtiments commerciaux, un bâtiment résidentiel et un jardin d'enfants qui ont été touchés, et ici à Kiev, dans la capitale la nuit a été ponctuée d'explosions entendues au loin, une quinzaine de drones russes visait les infrastructures énergétiques. À cela s'ajoute les frappes de missiles et bombes planantes, la nuit dernière. Kharkiv dans le nord est du pays a été touchée, une dizaine de personnes ont été blessées.
Plus de moyens
L'Ukraine demande plus de moyens pour sa défense aérienne alors que le pays est dans une course contre-la-montre pour tenter de réparer ses centrales, notamment thermiques. Elles ont déjà été détruites ou lourdement endommagées et ici la grande question pour les habitants est de savoir dans quelles conditions ils vont pouvoir passer l'hiver, avec des réserves en électricité et en chauffage plus que limitées.
Ce jeudi 3 octobre, le président Volodymyr Zelensky a profité de la visite à Kiev du nouveau chef de l'Otan, Mark Rutte, pour accuser les Occidentaux de faire « traîner » les livraisons de missiles à longue portée à son pays, sur fond de débat quant à leur utilisation pour frapper la Russie. « Nous avons besoin d'une quantité et d'une qualité suffisantes d'armes, y compris d'armes à longue portée, avec lesquelles, à mon avis, nos partenaires traînent déjà », a notamment déclaré M. Zelensky, cité par l'AFP. Par ailleurs, l'Ukraine veut « convaincre » ses alliés occidentaux d'« abattre les missiles et drones russes » qui la visent. «Nous sommes conscients qu'il s'agit d'une décision difficile », a convenu le président ukrainien.
Pas de victimes mais des dégâts matériels
Ils n'ont pas fait de victimes, mais les dégâts matériels sont importants, des lignes électriques ont été endommagées dans la région d'Odessa au sud et dans l'ouest du pays également, à Poltava ce sont six bâtiments commerciaux, un bâtiment résidentiel et un jardin d'enfants qui ont été touchés, et ici à Kiev, dans la capitale la nuit a été ponctuée d'explosions entendues au loin, une quinzaine de drones russes visait les infrastructures énergétiques. À cela s'ajoute les frappes de missiles et bombes planantes, la nuit dernière. Kharkiv dans le nord est du pays a été touchée, une dizaine de personnes ont été blessées.
Plus de moyens
L'Ukraine demande plus de moyens pour sa défense aérienne alors que le pays est dans une course contre-la-montre pour tenter de réparer ses centrales, notamment thermiques. Elles ont déjà été détruites ou lourdement endommagées et ici la grande question pour les habitants est de savoir dans quelles conditions ils vont pouvoir passer l'hiver, avec des réserves en électricité et en chauffage plus que limitées.
Ce jeudi 3 octobre, le président Volodymyr Zelensky a profité de la visite à Kiev du nouveau chef de l'Otan, Mark Rutte, pour accuser les Occidentaux de faire « traîner » les livraisons de missiles à longue portée à son pays, sur fond de débat quant à leur utilisation pour frapper la Russie. « Nous avons besoin d'une quantité et d'une qualité suffisantes d'armes, y compris d'armes à longue portée, avec lesquelles, à mon avis, nos partenaires traînent déjà », a notamment déclaré M. Zelensky, cité par l'AFP. Par ailleurs, l'Ukraine veut « convaincre » ses alliés occidentaux d'« abattre les missiles et drones russes » qui la visent. «Nous sommes conscients qu'il s'agit d'une décision difficile », a convenu le président ukrainien.