Entre le début du mois de janvier et le 30 novembre 2013, le groupement d’incendie et de secours numéro 2 de Thiès a fait 2000 interventions relative à des cas d’accidents de la circulation, soit une moyenne de près de 200 par mois. Ces chiffres annoncés hier par le Commandant Moussa Niang, montrent la récurrence des accidents de la circulation qui restent encore une préoccupation nationale vue l’ampleur des dégâts qu’ils engendrent en termes de pertes en vies humaines, de blessés graves et de dégâts matériels inestimables.
D’après lui, les accidents sont dus à l’imprudence de l’homme et principalement au non respect du code de la route (3 sur 5 accidents sont dus à l’excès de vitesse) et à l’état des routes elles mêmes. Il s’y ajoute le fait que les chauffeurs de transport en commun passent toute la journée à avaler l’asphalte, sans se reposer. Dans la région de Thiès, dit-il, un vaste programme de construction de ralentisseurs a été initié devant l’ampleur du fléau, ce qui a participé à réduire les accidents depuis quelques mois.
Victime avec un handicap, Ousmane Ndoye explique : « Notre véhicule a fait 9 tonneaux à 4 heures du matin ». Le drame est survenu le 9 février 2007, en pleine campagne électorale pour la présidentielle. En tant que coordonnateur national des mouvements de soutien du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), « on m’a réveillé à 2 heures du matin pour me demander d’aller répondre à Me Abdoulaye Wade à Kédougou. C’est dans ces conditions que nous avons aussitôt pris la route. C’est vers 4 heures du matin que notre véhicule à fait 9 tonneaux non loin du parc national du Niokolo Koba. Aujourd’hui, j’ai perdu l’usage de mes jambes et je me déplace avec un fauteuil roulant ».
D’après lui, les accidents sont dus à l’imprudence de l’homme et principalement au non respect du code de la route (3 sur 5 accidents sont dus à l’excès de vitesse) et à l’état des routes elles mêmes. Il s’y ajoute le fait que les chauffeurs de transport en commun passent toute la journée à avaler l’asphalte, sans se reposer. Dans la région de Thiès, dit-il, un vaste programme de construction de ralentisseurs a été initié devant l’ampleur du fléau, ce qui a participé à réduire les accidents depuis quelques mois.
Victime avec un handicap, Ousmane Ndoye explique : « Notre véhicule a fait 9 tonneaux à 4 heures du matin ». Le drame est survenu le 9 février 2007, en pleine campagne électorale pour la présidentielle. En tant que coordonnateur national des mouvements de soutien du Parti Démocratique Sénégalais (PDS), « on m’a réveillé à 2 heures du matin pour me demander d’aller répondre à Me Abdoulaye Wade à Kédougou. C’est dans ces conditions que nous avons aussitôt pris la route. C’est vers 4 heures du matin que notre véhicule à fait 9 tonneaux non loin du parc national du Niokolo Koba. Aujourd’hui, j’ai perdu l’usage de mes jambes et je me déplace avec un fauteuil roulant ».