L’objectif de ce deal entre la RDC et les États-Unis, est de permettre à des entreprises américaines d’investir dansl’exploitation minière congolaise, mais aussi dans les infrastructures nécessaires, comme les routes, chemins de fer, barrages et l'énergie.
Le gouvernement américain ne gère pas directement les mines, mais facilite les investissements via des institutions comme la DFC ou la banque EXIM. Les États-Unis insistent sur un partenariat « gagnant-gagnant », respectueux des lois locales et internationales, notamment en matière d’environnement, de travail et de lutte contre la corruption.
La Chine bien implantée en RDC
Mais ce projet arrive dans un contexte particulier. La Chine est aujourd’hui le premier partenaire commercial de la RDC. Elle représente plus de la moitié des exportations congolaises, et près de la moitié des importations. Elle domine largement le secteur minier.
Dans les provinces du Nord et du Sud-Kivu, des entreprises chinoises sont aussi régulièrement accusées d’exploiter l’or et d’autres minerais dans l’illégalité, souvent en lien avec des réseaux de contrebande. Reste à savoir comment les États-Unis comptent s’insérer dans ce paysage complexe, notamment dans des zones instables. Sur ce point, Washington reste discret.
Le gouvernement américain ne gère pas directement les mines, mais facilite les investissements via des institutions comme la DFC ou la banque EXIM. Les États-Unis insistent sur un partenariat « gagnant-gagnant », respectueux des lois locales et internationales, notamment en matière d’environnement, de travail et de lutte contre la corruption.
La Chine bien implantée en RDC
Mais ce projet arrive dans un contexte particulier. La Chine est aujourd’hui le premier partenaire commercial de la RDC. Elle représente plus de la moitié des exportations congolaises, et près de la moitié des importations. Elle domine largement le secteur minier.
Dans les provinces du Nord et du Sud-Kivu, des entreprises chinoises sont aussi régulièrement accusées d’exploiter l’or et d’autres minerais dans l’illégalité, souvent en lien avec des réseaux de contrebande. Reste à savoir comment les États-Unis comptent s’insérer dans ce paysage complexe, notamment dans des zones instables. Sur ce point, Washington reste discret.
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