Combattre la criminalité économique. Tel est le cheval de bataille de Ferlo SA, une société spécialisée dans le paiement électronique. En partenariat avec le Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA), elle a organisé, ce lundi 15 juin, un séminaire portant sur «l’utilisation des transactions électroniques à des fins de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme». La rencontre qui va durer deux jours va permettre aux participants de s’approprier le cadre juridique anti-blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme pour se situer dans les nouveaux champs de responsabilité pénale, éthique et professionnelle des organismes financiers.
«Il est apparu nécessaire pour nous acteurs, qui exercent des activités en rapport avec la monnaie électronique, d’harmoniser notre perception sur le contexte, les enjeux et les stratégies de lutte contre la criminalité financière. Cette dynamique collective nous permettra ainsi de mettre en cohérence nos interventions», a déclaré le directeur général de Ferlo SA, Cheikh Tidiane Sarr. Il a, ainsi, fait savoir que: «très tôt Ferlo, compte tenu de sa posture d’émetteur de monnaie électronique au profit des institutions de Micro Finance, a tenu à disposer d’un dispositif technique et juridique de lutte contre le blanchiment de capitaux».
Le représentant du directeur de la réglementation et de la supervision des systèmes financiers décentralisés, Djiby Diop a révélé que: «des moyens seront mis à la disposition des instances des Micro Finances, des structures de financement, pour se prémunir contre cette nouvelle forme de «grippe financière» qui risque de gripper nos économies et il faudrait veiller à la sécurité de la convertibilité de notre monnaie».
«Il est apparu nécessaire pour nous acteurs, qui exercent des activités en rapport avec la monnaie électronique, d’harmoniser notre perception sur le contexte, les enjeux et les stratégies de lutte contre la criminalité financière. Cette dynamique collective nous permettra ainsi de mettre en cohérence nos interventions», a déclaré le directeur général de Ferlo SA, Cheikh Tidiane Sarr. Il a, ainsi, fait savoir que: «très tôt Ferlo, compte tenu de sa posture d’émetteur de monnaie électronique au profit des institutions de Micro Finance, a tenu à disposer d’un dispositif technique et juridique de lutte contre le blanchiment de capitaux».
Le représentant du directeur de la réglementation et de la supervision des systèmes financiers décentralisés, Djiby Diop a révélé que: «des moyens seront mis à la disposition des instances des Micro Finances, des structures de financement, pour se prémunir contre cette nouvelle forme de «grippe financière» qui risque de gripper nos économies et il faudrait veiller à la sécurité de la convertibilité de notre monnaie».