
Publier « Un livre blanc » pour baliser le chemin du retour à Macky Sall, une peine perdue.
Les sénégalais ont effacé Benno de leur mémoire après 12 années de souffrance, de gabegie, d’injustice, de mal gouvernance, de reculs démocratiques et d’endettement non maîtrisé.
Comme pour assécher l’espoir de tout un peuple, Macky nous a servi un deal sur le dos de « son » candidat. Le Sénégal est, depuis, tombé dans des mains inexpertes, les pires tocards de toute son histoire politique.
Presque 6 mois de gouvernance et tous les signaux sont au rouge. Pastef nous sert son yoyo politique axé sur la dissolution du CESE et du HCCT en omettant de supprimer les 17 milliards de fonds politiques, une bonne cagnotte pour le duo au pouvoir.
L'économie est à terre et les caisses du trésor sans provisions. Des entreprises périclitent lorsque d’autres licencient pour survivre.
Le secteur privé est privé de marchés, sa raison de vivres, par des gouvernants esclaves des firmes étrangères et incapables de trouver les moyens de payer la dette intérieure.
Aujourd’hui, ces entreprises font l’objet d’une pression fiscale insoutenable fruit de la déformation professionnelle de ces agents des impôts au pouvoir, en mal d’intelligence économique.
Résultats : des pirogues remplies de jeunes désespérés reprennent la mer au risque de leur vie, sans oublier des milliers d’emplois perdus en si peu de temps.
Les sénégalais ont effacé Benno de leur mémoire après 12 années de souffrance, de gabegie, d’injustice, de mal gouvernance, de reculs démocratiques et d’endettement non maîtrisé.
Comme pour assécher l’espoir de tout un peuple, Macky nous a servi un deal sur le dos de « son » candidat. Le Sénégal est, depuis, tombé dans des mains inexpertes, les pires tocards de toute son histoire politique.
Presque 6 mois de gouvernance et tous les signaux sont au rouge. Pastef nous sert son yoyo politique axé sur la dissolution du CESE et du HCCT en omettant de supprimer les 17 milliards de fonds politiques, une bonne cagnotte pour le duo au pouvoir.
L'économie est à terre et les caisses du trésor sans provisions. Des entreprises périclitent lorsque d’autres licencient pour survivre.
Le secteur privé est privé de marchés, sa raison de vivres, par des gouvernants esclaves des firmes étrangères et incapables de trouver les moyens de payer la dette intérieure.
Aujourd’hui, ces entreprises font l’objet d’une pression fiscale insoutenable fruit de la déformation professionnelle de ces agents des impôts au pouvoir, en mal d’intelligence économique.
Résultats : des pirogues remplies de jeunes désespérés reprennent la mer au risque de leur vie, sans oublier des milliers d’emplois perdus en si peu de temps.
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