AHS respire la santé financière actuellement. Depuis sa mise sous administration provisoire par la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI), cette société aéroportuaire fait d’intéressantes recettes. Selon l’avocat, Me El Hadji Diouf, «plus de 463 millions sont actuellement dans les caisses de l’entreprise et plus de 460 millions devront compléter ce montant d’ici la fin du mois». Il a tenu à faire comprendre que «cela n’a jamais été le cas». L’avocat a développé qu’en «deux mois, plus d’un milliard est entré dans les caisses et les agents sont payés correctement à partir du 26. Cette administration provisoire est une réussite surtout que ADD Value Finance SA n’a jusqu’ici jamais perçu un franc de AHS».
Les avocats de l’administrateur provisoire, Abdoulaye Sylla ne pouvaient rester de marbre face aux attaques répétées. Ils ont tenu une conférence de presse ce mercredi 21 août 2013 à Dakar pour démonter un à un les différents points qui structurent ces attaques. Me Aly Fall a emboité le pas à Me El Hadji Diouf : «La société qui administre AHS fait l’objet de sorties particulièrement virulentes faisant croire que la société AHS est pillée et qu’il y règne un accaparement des ressources. Ces propos sont de pures affirmations gratuites».
Les détracteurs de Abdoulaye Sylla reproche la société ADD Value Finance SA d’être immatriculée dans un paradis fiscal. Me Aly Fall d’expliquer : «Quand il s’agit de commerce. Il est libre. Même s’il est encadré par des lois et règlements que tout le monde doit respecter. Ce qui n’est pas interdit est autorisé. Cela aurait pu être grave si Abdoulaye Sylla était un personnage public, un ministre ou un fonctionnaire de l’administration. C’est un homme d’affaire privé qui cherche à fructifier son business»
Me El Hadji Diouf s’est focalisé sur les contentieux dont les adversaires de Abdoulaye Sylla ont fait mention. «On soulève un litige commercial. Il devait payer 62 millions à quelqu’un qui lui doit 142 millions. Parmi ces gens, il y en qui ont été condamnés pour banqueroute frauduleuse. Ils s’agitent et prennent des avocats pour mettre sur la table ce contentieux purement commercial». Le conseil de l’administrateur provisoire de AHS a rappelé : «Il n’vait rien trouvé dans les caisses et aujourd’hui, il y a près d’un milliard de recettes en deux mois. Il faut faire une promotion des sénégalais, du produit national», plaide Me El Hadji Diouf.
Tout en se refusant de citer leurs détracteurs ou d’annoncer une plainte contre les journalistes auteur de ces textes virulents contre Abdoulaye Sylla, Me Aly Fall a indiqué que «toute cette entreprise vise à discréditer ADD value finance. Quand on a des valeurs et des vertus, ce n’est pas ça qui vous ébranle. Forte de la confiance de la CREI, du travail déjà accompli, ce travail mérite qu’on le préserve».
Ces avocats de l’administrateur provisoire de AHS ont tenu ce point de presse suite à une autorisation du barreau de Dakar qui toutefois leur a formellement interdit d’évoquer des éléments du fond du dossier en instruction à la CREI.
Ibrahima Lissa FAYE & Chadine S. DIOUF (Stagiaire)
Les avocats de l’administrateur provisoire, Abdoulaye Sylla ne pouvaient rester de marbre face aux attaques répétées. Ils ont tenu une conférence de presse ce mercredi 21 août 2013 à Dakar pour démonter un à un les différents points qui structurent ces attaques. Me Aly Fall a emboité le pas à Me El Hadji Diouf : «La société qui administre AHS fait l’objet de sorties particulièrement virulentes faisant croire que la société AHS est pillée et qu’il y règne un accaparement des ressources. Ces propos sont de pures affirmations gratuites».
Les détracteurs de Abdoulaye Sylla reproche la société ADD Value Finance SA d’être immatriculée dans un paradis fiscal. Me Aly Fall d’expliquer : «Quand il s’agit de commerce. Il est libre. Même s’il est encadré par des lois et règlements que tout le monde doit respecter. Ce qui n’est pas interdit est autorisé. Cela aurait pu être grave si Abdoulaye Sylla était un personnage public, un ministre ou un fonctionnaire de l’administration. C’est un homme d’affaire privé qui cherche à fructifier son business»
Me El Hadji Diouf s’est focalisé sur les contentieux dont les adversaires de Abdoulaye Sylla ont fait mention. «On soulève un litige commercial. Il devait payer 62 millions à quelqu’un qui lui doit 142 millions. Parmi ces gens, il y en qui ont été condamnés pour banqueroute frauduleuse. Ils s’agitent et prennent des avocats pour mettre sur la table ce contentieux purement commercial». Le conseil de l’administrateur provisoire de AHS a rappelé : «Il n’vait rien trouvé dans les caisses et aujourd’hui, il y a près d’un milliard de recettes en deux mois. Il faut faire une promotion des sénégalais, du produit national», plaide Me El Hadji Diouf.
Tout en se refusant de citer leurs détracteurs ou d’annoncer une plainte contre les journalistes auteur de ces textes virulents contre Abdoulaye Sylla, Me Aly Fall a indiqué que «toute cette entreprise vise à discréditer ADD value finance. Quand on a des valeurs et des vertus, ce n’est pas ça qui vous ébranle. Forte de la confiance de la CREI, du travail déjà accompli, ce travail mérite qu’on le préserve».
Ces avocats de l’administrateur provisoire de AHS ont tenu ce point de presse suite à une autorisation du barreau de Dakar qui toutefois leur a formellement interdit d’évoquer des éléments du fond du dossier en instruction à la CREI.
Ibrahima Lissa FAYE & Chadine S. DIOUF (Stagiaire)
Autres articles
-
Urgent - Moustapha Diakhaté placé sous mandat de dépôt
-
Chef de l'opposition au Sénégal: Déthié Faye apporte des éclaircissements sur le duel Macky Sall-Amadou Ba
-
Tribunal de Dakar : Moustapha Diakhaté et Adama Gaye déférés après leur garde à vue
-
🔴 Suivez en Direct le bloc d’informations Midikeng avec Déthié Faye, président de la Cdr/Fonk sa kaddu
-
Nécrologie : l’ancienne benjamine de la 11e législature rappelée à Dieu à Paris