Deux jours seulement après la clôture des inscriptions sur les listes électorales, place à la polémique sur la délivrance, ou plutôt la non-délivrance des cartes d'électeurs.
Le Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr) annonce dans un communiqué parvenu à la rédaction de PressAfrik qu'il y a un million de cartes d’électeurs qui sont actuellement bloquées dans les locaux de l’Ecole nationale de police.
Les leaders de l'opposition rassemblés autour du Fpdr soulignent que "ces cartes appartiennent, pour l’essentiel, aux jeunes qui se sont inscrits pour la première fois et que l’on appelle primo-inscrits dont beaucoup habitent Touba et Pikine Guédiawaye. Ceci est proprement inqualifiable au moment où le gouvernement un taux de retrait apparemment fantaisiste supérieur à 90%".
Ils appellent ainsi les populations sénégalaises à s'organiser pour récupérer, "par tous les moyens leurs cartes qui sont leur propriété légitime".
En attendant, le Fpdr "exige, conformément au Code électoral, l'accès immédiat d'une délégation de l'opposition à l'Ecole de police pour tirer cette situation au clair. Et ce en présence de la Cena et de la société civile"
Le Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr) annonce dans un communiqué parvenu à la rédaction de PressAfrik qu'il y a un million de cartes d’électeurs qui sont actuellement bloquées dans les locaux de l’Ecole nationale de police.
Les leaders de l'opposition rassemblés autour du Fpdr soulignent que "ces cartes appartiennent, pour l’essentiel, aux jeunes qui se sont inscrits pour la première fois et que l’on appelle primo-inscrits dont beaucoup habitent Touba et Pikine Guédiawaye. Ceci est proprement inqualifiable au moment où le gouvernement un taux de retrait apparemment fantaisiste supérieur à 90%".
Ils appellent ainsi les populations sénégalaises à s'organiser pour récupérer, "par tous les moyens leurs cartes qui sont leur propriété légitime".
En attendant, le Fpdr "exige, conformément au Code électoral, l'accès immédiat d'une délégation de l'opposition à l'Ecole de police pour tirer cette situation au clair. Et ce en présence de la Cena et de la société civile"