7 Milliards de nos francs CFA seront injectés dans le projet d’appuie à l’initiative de Dakar qui représente aujourd’hui un cadre stratégique de référence pour la mise en œuvre du plan d’action de la CEDEAO, et qui répond à un besoin urgent de combattre le trafic illicite des drogues et la criminalité organisée, qui menacent la stabilité des Etats de l’Afrique de l’Ouest. «le projet d’appuie à l’initiative de Dakar est estimé dans sa première phase qui est de 3 ans à 7 Milliards FCFA environs» a renseigné le Ministre de l’intérieur du Sénégal, Me Ousmane Ngom. Il a indiqué que «ce projet va impliquer l’ensemble des forces de sécurité pour leur donner une meilleure formation mais aussi pour leur donner des moyens matériels adéquats, des équipements adéquats leur permettant de jouer pleinement leur rôle».
Le Ministre de l’intérieur est d’avis que «la région Ouest africaine est devenue non seulement une plaque tournante mais aussi une zone de transite pour les trafiquants de drogues en direction de l’Europe venant de l’Amérique Latine ce qui nécessite le renforcement et l’élargissement du dispositif de lutte contre la drogue». Il a confié qu’: «il est clairement établi que les trafiquants de drogue utilisent des moyens très sophistiqués pour pouvoir passer entre les mailles des forces de sécurité, des moyens technologiques mais aussi des moyens matériels et humains». Pour lui, nous devons toujours avoir une longueur d’avance sur les trafiquant de drogue c’est pourquoi l’action nécessite une concertation permanente, une parfaite synergie, entre tous les Etats mais aussi toutes les organisations internationales de lutte contre la drogue en particulier l’ONUDC pour que nous puissions neutraliser ces trafiquants qui constituent un fléau pour l’économie des pays, pour le développement et la paix dans le monde.
Le Ministre de l’intérieur est d’avis que «la région Ouest africaine est devenue non seulement une plaque tournante mais aussi une zone de transite pour les trafiquants de drogues en direction de l’Europe venant de l’Amérique Latine ce qui nécessite le renforcement et l’élargissement du dispositif de lutte contre la drogue». Il a confié qu’: «il est clairement établi que les trafiquants de drogue utilisent des moyens très sophistiqués pour pouvoir passer entre les mailles des forces de sécurité, des moyens technologiques mais aussi des moyens matériels et humains». Pour lui, nous devons toujours avoir une longueur d’avance sur les trafiquant de drogue c’est pourquoi l’action nécessite une concertation permanente, une parfaite synergie, entre tous les Etats mais aussi toutes les organisations internationales de lutte contre la drogue en particulier l’ONUDC pour que nous puissions neutraliser ces trafiquants qui constituent un fléau pour l’économie des pays, pour le développement et la paix dans le monde.