Un béret rouge s'est donné la mort, d'une balle dans la tête, mercredi 30 décembre 2009 vers midi à la terrasse d'un bâtiment du Camp Alpha Yaya Diallo, quartier général de la junte militaire au pouvoir.
Selon plusieurs témoignages, M. Sylla a mis le canon de son kalachnikov dans sa bouche et a appuyé sur la détente au moment où les hommes du ministre chargé de la sécurité présidentielle Capitaine Claude Pivi s'apprêtaient à l'arrêter.
Le malheureux, marié et père de deux enfants, venait à peine d'être dénoncé comme étant un proche du Lieutenant Aboubacar Sidiki Chérif Diakité alias Toumba qui a recemment mit deux balles dans la tête du chef de la junte, Capitaine Moussa Dadis Camara encore hospitalisé à Rabat au Maroc.
Selon un ami de la victime, M. Sylla a préféré mourir vite au lieu de passer par des tortures inhumaines que ses prédecesseurs (accusés d'être de près ou de loin proches de Toumba) ont subi avant de rendre l'âme.
A signaler que des sources militaires indiquent que près de 1000 bérets rouges (à Conakry et à l'intérieur du pays) ont péri sous la foudre de la junte depuis le 3 décembre 2009, date à laquelle Dadis Camara avait été fusillé à la tête par son aide de camp Toumba Diakité.
Selon plusieurs témoignages, M. Sylla a mis le canon de son kalachnikov dans sa bouche et a appuyé sur la détente au moment où les hommes du ministre chargé de la sécurité présidentielle Capitaine Claude Pivi s'apprêtaient à l'arrêter.
Le malheureux, marié et père de deux enfants, venait à peine d'être dénoncé comme étant un proche du Lieutenant Aboubacar Sidiki Chérif Diakité alias Toumba qui a recemment mit deux balles dans la tête du chef de la junte, Capitaine Moussa Dadis Camara encore hospitalisé à Rabat au Maroc.
Selon un ami de la victime, M. Sylla a préféré mourir vite au lieu de passer par des tortures inhumaines que ses prédecesseurs (accusés d'être de près ou de loin proches de Toumba) ont subi avant de rendre l'âme.
A signaler que des sources militaires indiquent que près de 1000 bérets rouges (à Conakry et à l'intérieur du pays) ont péri sous la foudre de la junte depuis le 3 décembre 2009, date à laquelle Dadis Camara avait été fusillé à la tête par son aide de camp Toumba Diakité.