
Dans un communiqué, des organisations africaines de la société civile Ouest africaines et pour la plupart, membres du Réseau de solidarité démocratique ouest-africain ( WADEMOS ), réseau attaché aux valeurs démocratiques et à l'Etat de droit ont condamné avec véhémence tous les « tripatouillages constitutionnels » et institutionnels en Guinée Bissau et ailleurs en Afrique pour seul mais de rester au pouvoir ».
Selon ces organisations, tout acte de gouvernance démocratique posé doit l'être dans le respect de la Constitution bissau-guinéenne du 15 mai 2020.
La société civile africaine condamne fermement cet acte du Président Embaló, l'expulsion dans la nuit du 1er mars de la mission de médiation de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest ( Cedeao ) qui devait rencontrer toutes les parties prenantes, n'est pas de nature à faciliter une sortie heureuse à cette crise latente en Guinée-Bissau. Selon ses organisations, c’est une violation du Protocole additionnel de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance.
En dépit de cette fin abrupte, la délégation signale son inquiétude grandissante concernant la situation politique du pays et exhorte « toutes les parties intéressées et tous les citoyens à maintenir le calme et préserver la paix et la stabilité dans le pays ».
A l'approche des élections, qui sont des moments de tension politique, les professionnels des médias sont souvent pris pour des cibles par tous les camps. A cet effet, les organisations de la société civile, rappellent aux autorités bissau-guinéennes de respecter la liberté de presse et à mettre en place toutes les conditions permettant aux journalistes de bien assurer leur mission d'information.
Selon ces organisations, tout acte de gouvernance démocratique posé doit l'être dans le respect de la Constitution bissau-guinéenne du 15 mai 2020.
La société civile africaine condamne fermement cet acte du Président Embaló, l'expulsion dans la nuit du 1er mars de la mission de médiation de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest ( Cedeao ) qui devait rencontrer toutes les parties prenantes, n'est pas de nature à faciliter une sortie heureuse à cette crise latente en Guinée-Bissau. Selon ses organisations, c’est une violation du Protocole additionnel de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance.
En dépit de cette fin abrupte, la délégation signale son inquiétude grandissante concernant la situation politique du pays et exhorte « toutes les parties intéressées et tous les citoyens à maintenir le calme et préserver la paix et la stabilité dans le pays ».
A l'approche des élections, qui sont des moments de tension politique, les professionnels des médias sont souvent pris pour des cibles par tous les camps. A cet effet, les organisations de la société civile, rappellent aux autorités bissau-guinéennes de respecter la liberté de presse et à mettre en place toutes les conditions permettant aux journalistes de bien assurer leur mission d'information.
Autres articles
-
Kenya: c'est l'indignation après les déclarations du président Ruto sur le retour des militants enlevés
-
RDC : nouvel appel d'offres pour des blocs pétroliers, «un grave recul pour le climat», dit Greenpeace
-
Présidentielle en Guinée: depuis Abidjan, le Premier ministre avance la date de décembre 2025
-
Mali: les partis politiques sont officiellement dissous
-
Gambie: vente des biens de Yahya Jammeh sans la moindre transparence, selon l’opposition