La dengue, une maladie virale transmise à l'homme par des moustiques, inquiète les populations burkinabè.
Le gouvernement tente de rassurer les populations et d'éviter la panique généralisée, en insistant sur le caractère bénin de la maladie.
"La dengue est une maladie mortelle (…) Lorsque mon frère cadet a contracté cette maladie, il n'a même pas eu la chance de dire ce qui n'allait pas. Nous l'avons trouvé mort", témoigne un Burkinabè, dont un parent a succombé à cette pathologie.
Les quelque 2 000 cas signalés au Burkina l'ont été dans les 12 districts sanitaires de Ouagadougou, la capitale, selon l'Organisation mondiale de la santé.
La région du Sahel (nord) et celle des Hauts-Bassins (ouest) ont également été touchés.
La première explication à donner, selon les spécialistes de la santé, consiste à éviter un amalgame très répandu, qui peut entraîner des conséquences néfastes.
Une maladie bénigne
"Il n'existe pas de palu dengue. Parce qu'il existe une similitude entre le paludisme et la dengue, les gens, par analogie, ont inventé la maladie du palu dengue. La dengue a des symptômes qui ressemblent beaucoup à ceux du paludisme : la fièvre, les céphalées, les douleurs au niveau des articulations, des douleurs musculaires, etc." précise le docteur Brice Wilfried Bicaba, directeur de la lutte contre la maladie, au ministère burkinabè de la Santé.
Le docteur Smaïla Ouédraogo, ministre de la Santé, donne une explication de cette maladie : "Le moustique vecteur de la dengue pique surtout pendant le jour. Il se reproduit dans les eaux stagnantes. C'est une maladie dont 90 % des cas sont bénignes, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas graves."
La dengue est une maladie transmise par les moustiques, qui prévaut dans les régions tropicales, y compris en Afrique.
Le premier cas de dengue a été signalé au Burkina au début du 20e siècle.
Mais selon les spécialistes de la santé, c'est la première fois que la maladie prend des proportions aussi importantes.
L'épidémie est en recul, car, surpris par les premiers cas, les agents de santé en connaissent mieux les symptômes, selon les autorités.
Le gouvernement tente de rassurer les populations et d'éviter la panique généralisée, en insistant sur le caractère bénin de la maladie.
"La dengue est une maladie mortelle (…) Lorsque mon frère cadet a contracté cette maladie, il n'a même pas eu la chance de dire ce qui n'allait pas. Nous l'avons trouvé mort", témoigne un Burkinabè, dont un parent a succombé à cette pathologie.
Les quelque 2 000 cas signalés au Burkina l'ont été dans les 12 districts sanitaires de Ouagadougou, la capitale, selon l'Organisation mondiale de la santé.
La région du Sahel (nord) et celle des Hauts-Bassins (ouest) ont également été touchés.
La première explication à donner, selon les spécialistes de la santé, consiste à éviter un amalgame très répandu, qui peut entraîner des conséquences néfastes.
Une maladie bénigne
"Il n'existe pas de palu dengue. Parce qu'il existe une similitude entre le paludisme et la dengue, les gens, par analogie, ont inventé la maladie du palu dengue. La dengue a des symptômes qui ressemblent beaucoup à ceux du paludisme : la fièvre, les céphalées, les douleurs au niveau des articulations, des douleurs musculaires, etc." précise le docteur Brice Wilfried Bicaba, directeur de la lutte contre la maladie, au ministère burkinabè de la Santé.
Le docteur Smaïla Ouédraogo, ministre de la Santé, donne une explication de cette maladie : "Le moustique vecteur de la dengue pique surtout pendant le jour. Il se reproduit dans les eaux stagnantes. C'est une maladie dont 90 % des cas sont bénignes, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas graves."
La dengue est une maladie transmise par les moustiques, qui prévaut dans les régions tropicales, y compris en Afrique.
Le premier cas de dengue a été signalé au Burkina au début du 20e siècle.
Mais selon les spécialistes de la santé, c'est la première fois que la maladie prend des proportions aussi importantes.
L'épidémie est en recul, car, surpris par les premiers cas, les agents de santé en connaissent mieux les symptômes, selon les autorités.