Me Fatoumata GUEYE parle par exemple du consentement de la première épouse dans le cadre de la cohabitation et suffisamment de moyens de la part du mari pour entretenir ses épouses.
La Secrétaire générale de l’Association des femmes juristes du Sénégal (AJS) pense que « la polygamie est souvent source de déséquilibre et d’insécurité dans la famille. Elle est à l’origine de pratiquement tous les maux de la famille ». Voilà pourquoi elle plaide pour une modification du Code de la famille pour réglementer la polygamie afin d'arrêter le déséquilibre et l’insécurité qu’elle cause dans les familles.
Pour sa part, Babacar Samb, chef du Département d’arabe à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, trouve que « la législation islamique a posé beaucoup de contraintes quant-il s’agit de prendre une deuxième épouse ou plus. Et la plus contraignante reste le fait que le mari doit réserver une égalité de traitement à toutes les femmes et aux différents enfants, ce qui est loin d'être le cas dans l'état actuel des choses ».
Tous les deux s’exprimaient au cours d’une table-ronde sur « La polygamie au Sénégal : L’évolution, les formes et les perspectives’’ organisée par le Laboratoire de l’imaginaire de l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) », nous rapportent nos confrères de l’Aps.
La Secrétaire générale de l’Association des femmes juristes du Sénégal (AJS) pense que « la polygamie est souvent source de déséquilibre et d’insécurité dans la famille. Elle est à l’origine de pratiquement tous les maux de la famille ». Voilà pourquoi elle plaide pour une modification du Code de la famille pour réglementer la polygamie afin d'arrêter le déséquilibre et l’insécurité qu’elle cause dans les familles.
Pour sa part, Babacar Samb, chef du Département d’arabe à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, trouve que « la législation islamique a posé beaucoup de contraintes quant-il s’agit de prendre une deuxième épouse ou plus. Et la plus contraignante reste le fait que le mari doit réserver une égalité de traitement à toutes les femmes et aux différents enfants, ce qui est loin d'être le cas dans l'état actuel des choses ».
Tous les deux s’exprimaient au cours d’une table-ronde sur « La polygamie au Sénégal : L’évolution, les formes et les perspectives’’ organisée par le Laboratoire de l’imaginaire de l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) », nous rapportent nos confrères de l’Aps.
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