Elle vise également à interdire, à terme, le travail des mineures appelées "petites bonnes".
La nouvelle loi est entrée en vigueur hier mardi, deux ans après son vote par le parlement.
Le texte qui réglemente pour la première fois le travail domestique dans le royaume, impose un contrat de travail, un salaire minimum, un jour de repos hebdomadaire, des congés annuels et prévoit aussi des sanctions financières pour les employeurs en cas d'infraction.
Fruit d'un travail de plusieurs années, la nouvelle loi fixe à 18 ans l'âge minimal des employés de maison.
Il sera donc "permis d'exploiter les enfants de 16 et 17 ans dans le travail domestique jusqu'au 02 octobre 2023", s'est indigné le Collectif marocain pour l'éradication de l'exploitation des "petites bonnes".
Selon une étude commandée en 2010 par des associations, on comptait alors au Maroc entre 66.000 et 80.000 domestiques âgées de moins de 15 ans.
La nouvelle loi est entrée en vigueur hier mardi, deux ans après son vote par le parlement.
Le texte qui réglemente pour la première fois le travail domestique dans le royaume, impose un contrat de travail, un salaire minimum, un jour de repos hebdomadaire, des congés annuels et prévoit aussi des sanctions financières pour les employeurs en cas d'infraction.
Fruit d'un travail de plusieurs années, la nouvelle loi fixe à 18 ans l'âge minimal des employés de maison.
Il sera donc "permis d'exploiter les enfants de 16 et 17 ans dans le travail domestique jusqu'au 02 octobre 2023", s'est indigné le Collectif marocain pour l'éradication de l'exploitation des "petites bonnes".
Selon une étude commandée en 2010 par des associations, on comptait alors au Maroc entre 66.000 et 80.000 domestiques âgées de moins de 15 ans.