La mer s’énerve, les vagues sont en furie, les vents déchaînés s’en mêlent, la pirogue tangue, puis chavire. Les pêcheurs s’agglutinent, s’agrippent de toutes leurs forces. Mais ils sont à bout, ils ne tiennent plus. Cinq d’entre eux : Abdoulaye Faye, Mass Guèye, Modou Bâ, Pape Sow, Pape Sérère, lâchent prise et sont à la merci de la mer agitée. Un seul Tamsir Faye, s’accroche et tient tête à la furie des eaux. L’homme refuse de mourir, il résiste. Mais il est à bout.
Les cinq corps sont engloutis par les eaux. Le courant finit par emporter trois d’entre eux. Vers les coups de 13 heures, le dimanche pour le seul pêcheur qui reste sur la pirogue. Deux bâtiments français interceptent un signal de détresse. Ils font cap vers la zone et s’aperçoivent du désastre causé par la mer en furie. Les français s’occupent de l’unique survivant, Tamsir Faye. Puis des plongeurs cherchent, avec la dernière énergie du désespoir, à sauver les cinq (5) autres pêcheurs. Après quelques minutes sous l’eau, deux corps sans vie, Abdoulaye Faye et Mass Guèye, sont extraits.
Un bâtiment de la marine nationale fait cap sur les lieux pour récupérer les deux corps sans vie, lors que les trois autres pêcheurs sont portés disparus. De guerre lasse, la marine nationale dépose les deux corps sans vie et Tamsir Faye, l’unique survivant du naufrage, au port de Dakar, informe la presse du jour.
Les cinq corps sont engloutis par les eaux. Le courant finit par emporter trois d’entre eux. Vers les coups de 13 heures, le dimanche pour le seul pêcheur qui reste sur la pirogue. Deux bâtiments français interceptent un signal de détresse. Ils font cap vers la zone et s’aperçoivent du désastre causé par la mer en furie. Les français s’occupent de l’unique survivant, Tamsir Faye. Puis des plongeurs cherchent, avec la dernière énergie du désespoir, à sauver les cinq (5) autres pêcheurs. Après quelques minutes sous l’eau, deux corps sans vie, Abdoulaye Faye et Mass Guèye, sont extraits.
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