Les examens sont suspendus à l’Unité de Formation et de Recherche (UFR) Lettres Modernes (LM) et Langues Etrangères Appliqués (LEA), suite à la mort d’un étudiant mortellement fauché par un taxi.
La dépouille mortelle de Omar Diédhiou est attendue à Savoigne, une localité située à une trentaine de kilomètres de Saint-Louis.
Son camarade et voisin de chambre, Daniel Diatta, raconte les circonstances du drame : « Nous habitons Kénia un quartier situé à l’entrée de l’université. Nous avons prévu d’aller dîner au campus. A l’entrée de l’université, on a aperçu un de nos camarades qui venait du restaurant. Omar lui a demandé ce qui est au menu, ce dernier lui a dit c’est du spaghetti. Il à dit qu’il n'allait pas manger des pates. Je les ai laissés partir. Arrivé au restaurant, mon camarade m’appelle pour me dire que Omar a fait un accident, un taxi l'a heurté. Je suis venu jusqu’au lieu de l’accident, j’ai aperçu le taxi partir. Nous l’avons amené à l’hôpital. Après le scanner, le médecin n’avait pas jugé nécessaire de nous rendre compte des résultats. Omar avait une fracture interne, avec un saignement de nez et les oreilles. Le choc était très violent », témoigne Daniel Diatta. Avant d'ajouter que "les examens sont annulés, le temps que les camarades d’Omar et les deux départements puissent faire le deuil".
La dépouille mortelle de Omar Diédhiou est attendue à Savoigne, une localité située à une trentaine de kilomètres de Saint-Louis.
Son camarade et voisin de chambre, Daniel Diatta, raconte les circonstances du drame : « Nous habitons Kénia un quartier situé à l’entrée de l’université. Nous avons prévu d’aller dîner au campus. A l’entrée de l’université, on a aperçu un de nos camarades qui venait du restaurant. Omar lui a demandé ce qui est au menu, ce dernier lui a dit c’est du spaghetti. Il à dit qu’il n'allait pas manger des pates. Je les ai laissés partir. Arrivé au restaurant, mon camarade m’appelle pour me dire que Omar a fait un accident, un taxi l'a heurté. Je suis venu jusqu’au lieu de l’accident, j’ai aperçu le taxi partir. Nous l’avons amené à l’hôpital. Après le scanner, le médecin n’avait pas jugé nécessaire de nous rendre compte des résultats. Omar avait une fracture interne, avec un saignement de nez et les oreilles. Le choc était très violent », témoigne Daniel Diatta. Avant d'ajouter que "les examens sont annulés, le temps que les camarades d’Omar et les deux départements puissent faire le deuil".