En contact avec des sources très fiables et croisés, PressAfrik peut revenir sur le déroulement de la tentative de coup d'Etat qui s'est déroulée tôt ce matin à Banjul. Une poignée d'anciens soldats venus de l'étranger et dirigés par le jeune lieutenant colonel, Lamin Sanneh ancien chef dans la garde présidentielle ont convenu avec des compères au palais mais aussi avec d'autres soldats et citoyens pour renverser Yaya Jammeh, actuellement à Dubaï.
Le noyau de départ ne fait pas 15 personnes. Vers les coups de 5h, ils ont assailli le palais présidentiel. Au moment où ils avancent et la résistance des forces loyalistes devient de plus forte avec des renforts, certains militaires désistent et trahissent le groupe d'insurgés. Ce quiproquo a semé le doute dans le groupe des mutins. Cela a été exacerbé par la mort du leader. Et pourtant en ce moment là, le plus dur a été réussi parce que la radio était occupée, le pont, une partie de l'aéroport.
C'est le palais qui restait à être entièrement contrôlé . Le cantonnement militaire situé à côté de l'aéroport est venu à la rescousse. Une dizaine avait été dénombrèe aux alentours de 10h. Un nombre qui a vite pris l'ascenseur quand les insurgés ont commencé à se replier. Certains ont été tout bonnement abattus alors ceux qui sont du côté du pont sont capturés. Une partie du noyau des putschistes a réussi à quitter le territoire gambien et sont en lieu supposé sûr, selon une source proche du groupe. Le putsch a ainsi échoué mais la détermination d'une frange des gambiens à faire tomber à tout prix Yaya Jammeh reste intacte.
D'autres citoyens Gambiens vivant à l'étranger ont juré d'avoir la peau de l'enfant de Kanilay au pouvoir depuis plus de vingt bientôt. "Le peuple Gambien ne peut plus continuer à vivre l'oppression, la dictature". Des confrères que nous interrogés sur le supposè message envoyè pas Jammeh au moment la tentative de coup d'Etat battait son plein est faux. Ou du moins il ne provient pas du président gambien.
Le noyau de départ ne fait pas 15 personnes. Vers les coups de 5h, ils ont assailli le palais présidentiel. Au moment où ils avancent et la résistance des forces loyalistes devient de plus forte avec des renforts, certains militaires désistent et trahissent le groupe d'insurgés. Ce quiproquo a semé le doute dans le groupe des mutins. Cela a été exacerbé par la mort du leader. Et pourtant en ce moment là, le plus dur a été réussi parce que la radio était occupée, le pont, une partie de l'aéroport.
C'est le palais qui restait à être entièrement contrôlé . Le cantonnement militaire situé à côté de l'aéroport est venu à la rescousse. Une dizaine avait été dénombrèe aux alentours de 10h. Un nombre qui a vite pris l'ascenseur quand les insurgés ont commencé à se replier. Certains ont été tout bonnement abattus alors ceux qui sont du côté du pont sont capturés. Une partie du noyau des putschistes a réussi à quitter le territoire gambien et sont en lieu supposé sûr, selon une source proche du groupe. Le putsch a ainsi échoué mais la détermination d'une frange des gambiens à faire tomber à tout prix Yaya Jammeh reste intacte.
D'autres citoyens Gambiens vivant à l'étranger ont juré d'avoir la peau de l'enfant de Kanilay au pouvoir depuis plus de vingt bientôt. "Le peuple Gambien ne peut plus continuer à vivre l'oppression, la dictature". Des confrères que nous interrogés sur le supposè message envoyè pas Jammeh au moment la tentative de coup d'Etat battait son plein est faux. Ou du moins il ne provient pas du président gambien.