Le bilan est lourd après le mitraillage du bus du Togo en Angola où doit se dérouler la Coupe d'Afrique des nations.
L'entraîneur adjoint et le chargé de communication sont décédés samedi matin, selon un membre de la délégation de la CAF présente à Cabinda.
"Le chargé de communication Stanislas Ocloo et l'entraîneur adjoint Abalo Amelete ont rendu l'âme à quatre heures au petit matin", a dit Kodjo Samlan, chargé de presse pour le Togo par la CAF (Confédération africaine) et arrivé samedi matin à Cabinda avec la délégation de la CAF.
La télévision togolaise a confirmé le nouveau bilan de "deux morts et un blessé grave".
Un premier bilan délivré par la Fédération togolaise, qui parlait de neuf blessés parmi les joueurs et les officiels de l'équipe, faisait également état de la mort d'un chauffeur, une information qui n'a été confirmée ni par M. Samlan ni par la télévision togolaise.
La délégation du Togo a été mitraillée vendredi alors qu'elle passait en bus la frontière entre le Congo-Brazzaville et l'Angola. Cette attaque a été revendiquée par le Front de libération de l'enclave de Cabinda (FLEC), qui milite depuis 1975 pour l'indépendance de cette bande de terre enclavée entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Congo-Brazzaville.
L'entraîneur adjoint et le chargé de communication sont décédés samedi matin, selon un membre de la délégation de la CAF présente à Cabinda.
"Le chargé de communication Stanislas Ocloo et l'entraîneur adjoint Abalo Amelete ont rendu l'âme à quatre heures au petit matin", a dit Kodjo Samlan, chargé de presse pour le Togo par la CAF (Confédération africaine) et arrivé samedi matin à Cabinda avec la délégation de la CAF.
La télévision togolaise a confirmé le nouveau bilan de "deux morts et un blessé grave".
Un premier bilan délivré par la Fédération togolaise, qui parlait de neuf blessés parmi les joueurs et les officiels de l'équipe, faisait également état de la mort d'un chauffeur, une information qui n'a été confirmée ni par M. Samlan ni par la télévision togolaise.
La délégation du Togo a été mitraillée vendredi alors qu'elle passait en bus la frontière entre le Congo-Brazzaville et l'Angola. Cette attaque a été revendiquée par le Front de libération de l'enclave de Cabinda (FLEC), qui milite depuis 1975 pour l'indépendance de cette bande de terre enclavée entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Congo-Brazzaville.
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