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Le ministre de l’Intérieur a semblé se saisir de l’attaque du cortège du candidat des FAL 2012 qui a eu lieu hier, mercredi 15 février à Nguéniène. «Il s’agit d’un guet-apens. L’attaque a été une action planifiée, préméditée», a déclaré Me Ousmane Ngom.
Contrairement à ce que le leader du PDS a dit, le ministre de l’Intérieur a révélé que «la personne qui a été atteinte à la figure a perdu l’œil. Ce qui est quand même regrettable».
Et de souligner : «je pense que l’enquête fera la lumière de tout ce qui s’est passé». Dans la foulée, il a soutenu «mais, il faut que les leaders politiques en reviennent à plus de sérénité. Encore une fois la violence appelle la violence».
Le ministre de l’Intérieur de marteler : «nous avons constaté que c’était délibéré et organisé. Tout le monde sait que Nguéniène n’est pas neutre, c’est le village, le fief d’un candidat. Et il fallait justement essayer de se venger par rapport à ce qui s’est passé (faisant allusion à l’attaque du cortège de Tanor à Reubeuss» alors qu’il n’est pas établi qu’ici à Dakar ce qui s’est passé a été le fait de militants libéraux». Selon lui, «cela peut être des populations agacées, des populations qui ne sont pas avec ce candidat. Toutes les populations ne sont pas forcément dans les partis politiques. Elles peuvent être ou avoir de la sympathie pour un tel ou tel autre candidat».
Contrairement à ce que le leader du PDS a dit, le ministre de l’Intérieur a révélé que «la personne qui a été atteinte à la figure a perdu l’œil. Ce qui est quand même regrettable».
Et de souligner : «je pense que l’enquête fera la lumière de tout ce qui s’est passé». Dans la foulée, il a soutenu «mais, il faut que les leaders politiques en reviennent à plus de sérénité. Encore une fois la violence appelle la violence».
Le ministre de l’Intérieur de marteler : «nous avons constaté que c’était délibéré et organisé. Tout le monde sait que Nguéniène n’est pas neutre, c’est le village, le fief d’un candidat. Et il fallait justement essayer de se venger par rapport à ce qui s’est passé (faisant allusion à l’attaque du cortège de Tanor à Reubeuss» alors qu’il n’est pas établi qu’ici à Dakar ce qui s’est passé a été le fait de militants libéraux». Selon lui, «cela peut être des populations agacées, des populations qui ne sont pas avec ce candidat. Toutes les populations ne sont pas forcément dans les partis politiques. Elles peuvent être ou avoir de la sympathie pour un tel ou tel autre candidat».