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Plusieurs sujets ont été abordés à savoir "comment associer véritablement les organisations des droits de l’homme de la société civile à la lutte contre le terrorisme ? ». Thème confié à Alioune Tine, le Directeur régional d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Le président du comité sénégalais des droits de l’homme de regretter qu’on n’intègre pas, au plan national, les organisations de la société civile. Selon lui, généralement seules les Nations Unis et la CEDEAO (Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) invitent ces dernières pour discuter des questions de conflits.
Quant au trafic d’armement, Alioune Tine «ne comprend pas comment ces gens quittent la Libye, traversent le Niger, la frontière algérienne et mauritanienne et arrivent jusqu’au Mali sans qu’on sans rende compte… ». Amnesty international, sert-il, «veut travailler sur la question d’une prévention efficace en vue de «stopper les atrocités de masse».
Dans son rapport, le CEDS de Dakar recommande l’adoption de nouvelles stratégies convergentes pour un partenariat efficace de lutte contre le terrorisme, la conceptualisation de toutes les religions à qui l’on doit considérer les statuts de sentiment de l’humanité en les protégeant contre toutes les formes d’attaque portant atteinte à la dignité humaine, la mobilisation de tous les acteurs dans le cadre d’un partenariat global tout en encourageant la prise en charge par chaque Etat, de leur sécurité interne.
Il recommande également la coalition de tous les Etats membres notamment les Etats musulmans pour jeter les bases d’un large partenariat pour le combat de djihads autoproclamé. La lutte contre les détracteurs qui favorisent la propagation, du terrorisme. Notamment par le billet de la résolution et la prévention des conflits, la promotion du dialogue entre les religions et les différents groupes structurels, la réalisation des objectifs du millénaire et du développement, la protection des droits de l’homme et de l’état de droit, entre autres.
Quant au trafic d’armement, Alioune Tine «ne comprend pas comment ces gens quittent la Libye, traversent le Niger, la frontière algérienne et mauritanienne et arrivent jusqu’au Mali sans qu’on sans rende compte… ». Amnesty international, sert-il, «veut travailler sur la question d’une prévention efficace en vue de «stopper les atrocités de masse».
Dans son rapport, le CEDS de Dakar recommande l’adoption de nouvelles stratégies convergentes pour un partenariat efficace de lutte contre le terrorisme, la conceptualisation de toutes les religions à qui l’on doit considérer les statuts de sentiment de l’humanité en les protégeant contre toutes les formes d’attaque portant atteinte à la dignité humaine, la mobilisation de tous les acteurs dans le cadre d’un partenariat global tout en encourageant la prise en charge par chaque Etat, de leur sécurité interne.
Il recommande également la coalition de tous les Etats membres notamment les Etats musulmans pour jeter les bases d’un large partenariat pour le combat de djihads autoproclamé. La lutte contre les détracteurs qui favorisent la propagation, du terrorisme. Notamment par le billet de la résolution et la prévention des conflits, la promotion du dialogue entre les religions et les différents groupes structurels, la réalisation des objectifs du millénaire et du développement, la protection des droits de l’homme et de l’état de droit, entre autres.
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