Des témoins disent avoir entendu une forte explosion, puis l’avion militaire s'est visiblement cassé avant de tomber sur trois maisons et de terminer sa course sur un champ de riz limitrophe. Seule la queue de l'appareil a échappé aux flammes.
L’armée a assuré qu’il y aurait une enquête pour déterminer les causes de l’accident et les responsabilités. Selon elle l’avion était en bon état, mais la presse commence déjà à spéculer sur de possibles problèmes de maintenance de l’appareil.
Il faut dire que ce n’est pas le premier crash militaire, loin de là. La semaine dernière, un autre accident avait fait un blessé en Papouasie et le mois dernier, plus tragique, 24 personnes étaient mortes lorsqu’un avion, une fois de plus militaire, s’était écrasé sur un hangar .
L’armée indonésienne est sous-financée et a longtemps souffert d’un embargo sur les armes de la part des Etats-Unis, ce qui l’a empêchée de moderniser son équipement. Cet embargo a récemment été levé.
Enfin, et surtout, le problème de maintenance des infrastructures est une plaie nationale. L’aviation civile est aussi concernée. Depuis deux ans, les compagnies indonésiennes sont toujours sur la liste noire de l’Union européenne.
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L’armée a assuré qu’il y aurait une enquête pour déterminer les causes de l’accident et les responsabilités. Selon elle l’avion était en bon état, mais la presse commence déjà à spéculer sur de possibles problèmes de maintenance de l’appareil.
Il faut dire que ce n’est pas le premier crash militaire, loin de là. La semaine dernière, un autre accident avait fait un blessé en Papouasie et le mois dernier, plus tragique, 24 personnes étaient mortes lorsqu’un avion, une fois de plus militaire, s’était écrasé sur un hangar .
L’armée indonésienne est sous-financée et a longtemps souffert d’un embargo sur les armes de la part des Etats-Unis, ce qui l’a empêchée de moderniser son équipement. Cet embargo a récemment été levé.
Enfin, et surtout, le problème de maintenance des infrastructures est une plaie nationale. L’aviation civile est aussi concernée. Depuis deux ans, les compagnies indonésiennes sont toujours sur la liste noire de l’Union européenne.
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