This browser does not support the video element.
Au courant de la semaine dernière, la presse avait annoncé la démission de Mahmout Saleh de l’Alliance pour la République (APR). Une information qui jusqu’ici demeure encore une nébuleuse. Le président de l’APR, Macky Sall en tournée politique ce week-end à Diourbel a démenti le départ de l’ancien membre de l’URD/FAL. «Mahmout Saleh est un responsable et un ami avec qui j’ai cheminé pendant de longues années. Je pense que s’il démissionnait du parti, ce n’est pas dans la presse que je vais l’apprendre. S’il devait partir, c’est lui-même qui me le dirait. Je considère que cela n’existe pas jusqu’à la preuve du contraire», a déclaré le maire de Fatick.
Macky Sall a, par ailleurs, souligné dans un discours montré par la chaine 2STV que «partout où nous avons été, nous avons reçu les doléances des populations meurtries, délaissées». Et de marteler : «j’ai pu mesurer combien le chemin du développement restait encore. Il reste encore beaucoup à faire. Les conditions minimales de développement ne sont pas encore atteintes. Il faut leur assurer le minimum de soins de santé primaire, d’éducation et d’eau potable à boire». Selon l’ancien président de l’Assemblée nationale, «L’accès aux semences et le renouvellement du capital semencier demeurent problématique». Il s’est aussi exprimé sur la crise énergétique. «Ici à Diourbel centre et les zones environnantes, nous avons noté une absence d’électricité. La fourniture en électricité reste un casse tête pour la majorité des sénégalais», a déclaré le candidat à la présidentielle de février 2012.
Macky Sall a, par ailleurs, souligné dans un discours montré par la chaine 2STV que «partout où nous avons été, nous avons reçu les doléances des populations meurtries, délaissées». Et de marteler : «j’ai pu mesurer combien le chemin du développement restait encore. Il reste encore beaucoup à faire. Les conditions minimales de développement ne sont pas encore atteintes. Il faut leur assurer le minimum de soins de santé primaire, d’éducation et d’eau potable à boire». Selon l’ancien président de l’Assemblée nationale, «L’accès aux semences et le renouvellement du capital semencier demeurent problématique». Il s’est aussi exprimé sur la crise énergétique. «Ici à Diourbel centre et les zones environnantes, nous avons noté une absence d’électricité. La fourniture en électricité reste un casse tête pour la majorité des sénégalais», a déclaré le candidat à la présidentielle de février 2012.