C'est une solidarité agissante entre les joueurs de l’équipe nationale de France. L’expulsion de leur attaquant sans qu’ils ne soient consultés a envenimé la crise qui était déjà latente avec les contre performances des «bleus» dans ce mondial 2010 qui se joue en Afrique du Sud. Arrivé au Field of Dreams de leur complexe du Pezula Hotel, Patrice Evra capitaine de l’équipe est allé rejoindre son sélectionneur au rond central pour discuter de l’éviction de Anelka tandis que le reste de la sélection se dirige vers le public.
Le préparateur physique, Robert Duverne, se joint à eux. Mais c’est à ce moment que le ton de la discussion a changé. L'ambiance est devenue menaçante. Robert Duverne se dirige vers le capitaine quand Raymond Domenech s’interpose entre les deux hommes. L’un des entraineurs des gardiens, Fabrice Grange s’est chargé de calmer Patrice Evra. Le préparateur physique excédé par la tournure des événements quitte la pelouse avec véhémence en jetant de rage son chronomètre.
Le préparateur physique, Robert Duverne, se joint à eux. Mais c’est à ce moment que le ton de la discussion a changé. L'ambiance est devenue menaçante. Robert Duverne se dirige vers le capitaine quand Raymond Domenech s’interpose entre les deux hommes. L’un des entraineurs des gardiens, Fabrice Grange s’est chargé de calmer Patrice Evra. Le préparateur physique excédé par la tournure des événements quitte la pelouse avec véhémence en jetant de rage son chronomètre.
C’est à la suite de ces discussions orageuses que Patrice Evra est allé se concerté avec ses partenaires. Après quelques minutes de palabres, le capitaine a tendu à François Manardo, l'attaché de presse des Bleus, un petit papier au contenu mystérieux. Visiblement, celui-ci contenait la formulation écrite d'une décision incroyable : refus de s'entraîner ! Les Français, alors, sont rentrés dans le bus qui les avait déposé là dix minutes plus tôt. Sans toucher un ballon ni même entamer l'échauffement. Rideaux tirés. Le véhicule a pas repris la route.
Le directeur général adjoint de la Fédération Française de Football, chef de la délégation, Jean-Louis Valentin n’a pas de mot pour qualifier ce qui vient de se passer. Il jette ainsi l’éponge sur le champ. Remontant péniblement la butte qui entoure la pelouse. "J'ai honte, je rentre à Paris, les joueurs vous diront eux-mêmes ce qui se passe», a-t-il presque sangloté. «C'est un scandale pour les Français et les jeunes qui sont ici, ils ne veulent pas s'entraîner. Pour ce qui me concerne, je quitte la fédération", a conclu le chef de délégation.
Le directeur général adjoint de la Fédération Française de Football, chef de la délégation, Jean-Louis Valentin n’a pas de mot pour qualifier ce qui vient de se passer. Il jette ainsi l’éponge sur le champ. Remontant péniblement la butte qui entoure la pelouse. "J'ai honte, je rentre à Paris, les joueurs vous diront eux-mêmes ce qui se passe», a-t-il presque sangloté. «C'est un scandale pour les Français et les jeunes qui sont ici, ils ne veulent pas s'entraîner. Pour ce qui me concerne, je quitte la fédération", a conclu le chef de délégation.
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