Dakar, 11 déc (APS) - Les derniers résultats d’essais laissent à penser que les spécialistes de la recherche sur le paludisme sont ‘’peut-être dans la dernière ligne droite’’, après plusieurs essais qui se sont révélés positifs chez des nourrissons et des bébés africains, indique le quotidien français Le Figaro dans sa dernière livraison.
Le journal souligne qu’après 70 ans de recherches, que ‘’cette fois sera peut-être la bonne’’, suite aux essais appliqués sur un candidat vaccin chez des nourrissons et de jeunes enfants. Ce vaccin dirigé spécifiquement contre un des quatre parasites humains (Plasmodium falciparum) est une molécule de synthèse’’.
‘’Lorsqu’elle est injectée dans l’organisme, poursuit le quotidien français, elle déclenche la production d’anticorps dirigés contre une protéine de surface du parasite jeune, avant d’envahir le foie’’.
Il note que deux nouveaux essais indépendants du même vaccin ont été publiés simultanément lundi sur le site Internet du ‘’New England Journal of Medicine’’ et qui font état d’une protection significative contre le paludisme chez les sujets vaccinés.
Le quotidien rappelle que depuis 2004, ce candidat vaccin, fruit d’une collaboration entre GlaxoSmithKline et la Fondation américaine Path, a connu plusieurs succès.
‘’Déjà en octobre 2004, rappelle le journal, une première version du vaccin (baptisé RTS, S/AS) avait fait l’objet dans ‘’The Lancet’’, d’un essai clinique pédiatrique au Mozambique sur 2 000 enfants de 1 à 4 ans.
Le Figaro signale, de ce fait, qu’une réduction des crises de 53 % est opérée, puisque, chez près de 30 % des sujets vaccinés, la survenue d’un premier accès palustre a été retardée ou stoppée, et la présence du parasite dans le sang chez les enfants vaccinés était de 37 % inférieure à celle du groupe ayant reçu le placebo.
Le journal souligne qu’après 70 ans de recherches, que ‘’cette fois sera peut-être la bonne’’, suite aux essais appliqués sur un candidat vaccin chez des nourrissons et de jeunes enfants. Ce vaccin dirigé spécifiquement contre un des quatre parasites humains (Plasmodium falciparum) est une molécule de synthèse’’.
‘’Lorsqu’elle est injectée dans l’organisme, poursuit le quotidien français, elle déclenche la production d’anticorps dirigés contre une protéine de surface du parasite jeune, avant d’envahir le foie’’.
Il note que deux nouveaux essais indépendants du même vaccin ont été publiés simultanément lundi sur le site Internet du ‘’New England Journal of Medicine’’ et qui font état d’une protection significative contre le paludisme chez les sujets vaccinés.
Le quotidien rappelle que depuis 2004, ce candidat vaccin, fruit d’une collaboration entre GlaxoSmithKline et la Fondation américaine Path, a connu plusieurs succès.
‘’Déjà en octobre 2004, rappelle le journal, une première version du vaccin (baptisé RTS, S/AS) avait fait l’objet dans ‘’The Lancet’’, d’un essai clinique pédiatrique au Mozambique sur 2 000 enfants de 1 à 4 ans.
Le Figaro signale, de ce fait, qu’une réduction des crises de 53 % est opérée, puisque, chez près de 30 % des sujets vaccinés, la survenue d’un premier accès palustre a été retardée ou stoppée, et la présence du parasite dans le sang chez les enfants vaccinés était de 37 % inférieure à celle du groupe ayant reçu le placebo.
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