« Il y des districts qui ont des vaccins disponibles. D’autres ont des ruptures. C’est la distribution qui n’a pas suivi la demande. Il y en a qui vaccinent, et d’autres qui ne voient personne. Mais même pour ceux qui ont des stocks, s’il y a rush, il y aura forcément une rupture parce qu’on n’a pas assez de vaccins. La quantité disponible dans notre pays ne couvre pas les besoins. On ne sera même pas à 10 % de personnes vaccinées. Avant, on refusait de vacciner les non prioritaires. Mais on s’est rendu compte que mêmes les personnes vulnérables étaient réticentes », a déclaré le Dr El Haj Ndiaye Diop dans les colonnes du Témoin.
Le médecin de poursuivre: « On n’a pas assez de vaccins, on n’a pas une réaction normale des personnes à risque. On est dans la situation de départ. Or, pour une immunité collective, on devra avoir plus de 60 % de personnes vaccinées. Seule une vaccination de masse peut freiner l’évolution. Si on ne se vaccine pas, on ne pourra pas atteindre ce taux d’immunité collective, et on ne pourra pas être immunisé ».
Pour lui: « Le seul point positif, c’est le personnel médical qui s’est fait vacciner en tant que personnes à risques. Comme ces soignants sont protégés, ils ne vont pas contaminer ceux qui viennent vers eux. Le vaccin n’est pas un geste barrière et n’empêche pas de porter le virus. Il nous protège de la maladie. Si on est vacciné, on peut contracter la maladie, mais on ne tombera pas malade. On transporte le virus mais on n’est pas malade. Les mesures barrières, c’est pour que tu ne le portes pas. Le vaccin, c’est possible que tu ne tombes pas malades. Avec le masque par exemple, tu n’attrapes pas le virus et tu ne risques pas d’être malade ».
Le Docteur El Haj Ndiaye Diop d'alerter: « Notre problème, c’est qu’on ne se sait pas quand est-ce qu’on va tomber sur un variant plus virulent. Malheureusement, on voit qu’un variant arrive, en pleine période de chaleur, les cas augmentent. Le variant indien commence à remplacer complètement la souche initiale. C’est ce qui est bizarre. Alors que, avant c’est ce qui expliquait la disparition d’un virus. C’est comme un changement, mais dans le mauvais sens. Ici, il y a un changement qui rend le virus plus féroce et qui contamine beaucoup plus vite. Pour le faire disparaitre, soit il n’y a plus de réservoir soit il faut protéger tout le monde avec la vaccination. C’est d’ailleurs le seul espoir ».
Le médecin de poursuivre: « On n’a pas assez de vaccins, on n’a pas une réaction normale des personnes à risque. On est dans la situation de départ. Or, pour une immunité collective, on devra avoir plus de 60 % de personnes vaccinées. Seule une vaccination de masse peut freiner l’évolution. Si on ne se vaccine pas, on ne pourra pas atteindre ce taux d’immunité collective, et on ne pourra pas être immunisé ».
Pour lui: « Le seul point positif, c’est le personnel médical qui s’est fait vacciner en tant que personnes à risques. Comme ces soignants sont protégés, ils ne vont pas contaminer ceux qui viennent vers eux. Le vaccin n’est pas un geste barrière et n’empêche pas de porter le virus. Il nous protège de la maladie. Si on est vacciné, on peut contracter la maladie, mais on ne tombera pas malade. On transporte le virus mais on n’est pas malade. Les mesures barrières, c’est pour que tu ne le portes pas. Le vaccin, c’est possible que tu ne tombes pas malades. Avec le masque par exemple, tu n’attrapes pas le virus et tu ne risques pas d’être malade ».
Le Docteur El Haj Ndiaye Diop d'alerter: « Notre problème, c’est qu’on ne se sait pas quand est-ce qu’on va tomber sur un variant plus virulent. Malheureusement, on voit qu’un variant arrive, en pleine période de chaleur, les cas augmentent. Le variant indien commence à remplacer complètement la souche initiale. C’est ce qui est bizarre. Alors que, avant c’est ce qui expliquait la disparition d’un virus. C’est comme un changement, mais dans le mauvais sens. Ici, il y a un changement qui rend le virus plus féroce et qui contamine beaucoup plus vite. Pour le faire disparaitre, soit il n’y a plus de réservoir soit il faut protéger tout le monde avec la vaccination. C’est d’ailleurs le seul espoir ».