Crise de l’emploi, crise des valeurs, cherté du coût de la vie, autorité parentale menacée etc. telle est la dure réalité d’une société qui a cédé, depuis longtemps, aux multiples agressions extérieures. Certes, nous savons, depuis la publication de : "Les Stars" Edgar Morin que, la star incarne un imaginaire ancré dans les croyances de la société moderne et fait souvent l’objet d’un culte, d’une légende.
Lorsque la marmite « sociétale » est en ébullition, il faut de temps en temps soulever le couvercle pour éviter l’explosion. Un "évènement" comme l’accueil de Vaïdehi aide justement à cela. La distraction devient une sorte de thérapie puisqu’elle permet à de nombreuses personnes de "s’endormir". C’est connu, une société traumatisée, désespérée a besoin de pilule, de tranquillisant pour ne pas disjoncter.
Dans ce cas, elle devient perméable à toutes les rumeurs les plus irrationnelles comme celle qui défraie la chronique ces derniers temps : cette personne "invisible" qui donne de l’aumône "suspectée".
Notre société est en profonde mutation. Et ce changement de cap se fait généralement au détriment du "déjà - institué". Comme si les jeunes prenaient un malin plaisir à dé-construire tout ce que les adultes ont bâti. La perte de repères que l’on ne cesse d’évoquer et qui qualifie le rapport de ces jeunes au monde qui les entoure, traduit cette perte de confiance vis à vis des adultes.
En effet, cette perte de repère, fruit de la confrontation de ma culture avec celle d’autrui, est un mal nécessaire, puisque ma vision ethnocentriste est bousculée. Alors, je me découvre et découvre ma culture, mon enracinement et mes particularités, en somme toute cette partie de mon être qu’il n’est possible de percevoir qu’à travers la rencontre avec une autre civilisation.
Pour entamer le processus de guérison, notre société doit avoir le courage de regarder dans le miroir pour voir son ombre, sa part de cette psychose. Et nous sommes de ceux qui pensent que le fait de prendre conscience de notre propre complicité dans la folie collective est à la fois libérateur et traumatisant.
Cette introspection nous aidera à nous libérer de nos aliénations pour atteindre une qualité d’esprit supérieure par rapport à cette peur du réel.
Lorsque la marmite « sociétale » est en ébullition, il faut de temps en temps soulever le couvercle pour éviter l’explosion. Un "évènement" comme l’accueil de Vaïdehi aide justement à cela. La distraction devient une sorte de thérapie puisqu’elle permet à de nombreuses personnes de "s’endormir". C’est connu, une société traumatisée, désespérée a besoin de pilule, de tranquillisant pour ne pas disjoncter.
Dans ce cas, elle devient perméable à toutes les rumeurs les plus irrationnelles comme celle qui défraie la chronique ces derniers temps : cette personne "invisible" qui donne de l’aumône "suspectée".
Notre société est en profonde mutation. Et ce changement de cap se fait généralement au détriment du "déjà - institué". Comme si les jeunes prenaient un malin plaisir à dé-construire tout ce que les adultes ont bâti. La perte de repères que l’on ne cesse d’évoquer et qui qualifie le rapport de ces jeunes au monde qui les entoure, traduit cette perte de confiance vis à vis des adultes.
En effet, cette perte de repère, fruit de la confrontation de ma culture avec celle d’autrui, est un mal nécessaire, puisque ma vision ethnocentriste est bousculée. Alors, je me découvre et découvre ma culture, mon enracinement et mes particularités, en somme toute cette partie de mon être qu’il n’est possible de percevoir qu’à travers la rencontre avec une autre civilisation.
Pour entamer le processus de guérison, notre société doit avoir le courage de regarder dans le miroir pour voir son ombre, sa part de cette psychose. Et nous sommes de ceux qui pensent que le fait de prendre conscience de notre propre complicité dans la folie collective est à la fois libérateur et traumatisant.
Cette introspection nous aidera à nous libérer de nos aliénations pour atteindre une qualité d’esprit supérieure par rapport à cette peur du réel.