Il n'y va pas avec le dos de la cuillère. Bernard Debré, le député UMP de Paris s'en est pris, une fois de plus, à Valérie Trierweiler. En cause ? Son engagement pour le mariage des couples homosexuels. "Madame Trierweiler, première dame autoproclamée, qui n'est que la maîtresse du président de la République, a récidivé récemment, après son tweet ravageur, puisqu'elle a annoncé qu'elle serait quasiment le premier témoin du mariage homosexuel", a écrit sur son blog l'ex-ministre de la Coopération de François Mitterrand.
Au micro de RTL, Valérie Trierweiler s'est, en effet, positionnée, lundi, en faveur du mariage homosexuel, en annonçant qu'elle serait témoin du mariage de deux de ses amis dès que la loi serait adoptée. "De quoi se mêle-t-elle ? A quel titre a-t-elle parlé ?", s'est interrogé Bernard Debré. "Quand on est dans sa position, après les bourdes qu'elle a déjà faites, il aurait été préférable qu'elle se taise". Et de juger : "Elle peut soit faire de la politique, mais ne plus être journaliste et définir sa position à l'Elysée. Elle peut aussi, ce qui serait mieux, se taire et ne plus faire ni politique, ni journalisme".
Bernard Debré remet en cause la légitimité de Valérie Trierweiler
Ce n'est pas la première fois que Bernard Debré s'en prend à la compagne de François Hollande. Le député UMP avait publié une lettre ouverte incendiaire à son encontre, au lendemain de la fameuse "affaire du tweet" où Valérie Trierweiler avait soutenu Olivier Falorni lors des élections législatives. "Vous avez réussi, par vous bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France", avait-il lancé avant de remettre en cause sa légitimité. "Vous n'avez, Madame, aucune existence légale d'autant plus que vous n'êtes ni mariée, ni pacsée. Que dirait-on d'un président de la République qui accumulerait les "premières dames' comme on accumule des amies ou des flirts ?".
La première dame de France réussira-t-elle à tenir ses engagements en gardant son calme ? Valérie Trierweiler affirmait, en effet, fin novembre au micro de RTL qu'elle s'estimait heureuse de ne plus être "sujet de polémique", même si elle avouait qu'il y avait parfois des "tweets qui se perdaient"...
Au micro de RTL, Valérie Trierweiler s'est, en effet, positionnée, lundi, en faveur du mariage homosexuel, en annonçant qu'elle serait témoin du mariage de deux de ses amis dès que la loi serait adoptée. "De quoi se mêle-t-elle ? A quel titre a-t-elle parlé ?", s'est interrogé Bernard Debré. "Quand on est dans sa position, après les bourdes qu'elle a déjà faites, il aurait été préférable qu'elle se taise". Et de juger : "Elle peut soit faire de la politique, mais ne plus être journaliste et définir sa position à l'Elysée. Elle peut aussi, ce qui serait mieux, se taire et ne plus faire ni politique, ni journalisme".
Bernard Debré remet en cause la légitimité de Valérie Trierweiler
Ce n'est pas la première fois que Bernard Debré s'en prend à la compagne de François Hollande. Le député UMP avait publié une lettre ouverte incendiaire à son encontre, au lendemain de la fameuse "affaire du tweet" où Valérie Trierweiler avait soutenu Olivier Falorni lors des élections législatives. "Vous avez réussi, par vous bavardages, à ébranler la campagne électorale et à ridiculiser la France", avait-il lancé avant de remettre en cause sa légitimité. "Vous n'avez, Madame, aucune existence légale d'autant plus que vous n'êtes ni mariée, ni pacsée. Que dirait-on d'un président de la République qui accumulerait les "premières dames' comme on accumule des amies ou des flirts ?".
La première dame de France réussira-t-elle à tenir ses engagements en gardant son calme ? Valérie Trierweiler affirmait, en effet, fin novembre au micro de RTL qu'elle s'estimait heureuse de ne plus être "sujet de polémique", même si elle avouait qu'il y avait parfois des "tweets qui se perdaient"...