Cinq mois après l'arrivée de François Hollande à l'Elysée, Valérie Trierweiler a profité d'une inauguration pour la Fondation Danielle Mitterrand pour revenir sur ses premiers pas, qu'elle juge elle-mêmes difficiles. Fine connaisseuse de la chose politique, la journaliste de Paris Match pensait sans doute que ce se serait plus facile. Mais l'épisode du tweet et les nombreux livres (souvent non autorisés) dont elle est l'héroïne ont changé la donne.
Désirant être "utile" avant tout, elle dessine peu à peu sa vision de son rôle de première dame, un rôle fait de devoirs de représentations, qui n’est pas pris en compte dans la constitution qui ne reconnaît pas d’existence officielle à l’épouse du chef de l’Etat "J'ai tâtonné au début, mais j'ai découvert qu'il n'y avait pas que des contraintes et qu'il y avait aussi des choses à accomplir. J'ai compris qu'on attendait des choses de moi, j'ai compris que je pouvais être utile et ça me touche énormément de savoir que je peux être utile".
Si elle reste journaliste à Match, elle n’assiste plus aux conférences de rédaction et travaille désormais de chez elle. Elle aussi renoncé à animer une émission sur D8. Un double renoncement qui sonne presque comme un sacrifice dans la bouche de celle qui a construit son identité sur sa carrière de journaliste.
"Ma carrière n'est pas complètement entre parenthèses mais elle n'est plus la priorité", affirme-t-elle aujourd’hui. A la croire, c’en serait donc fini des tweets, petites phrases, et autres caprices… "Appelez-moi comme vous voulez" répond-elle à un journaliste qui rappelle l’une de ses maladresses au micro de France Inter. A Patrick Cohen qui l’interrogeait sur son titre et comment il fallait désormais l’appeler, la first girlfriend répondait "première journaliste de France ou atout coeur de France". Elle l'a promis à François, le changement c'est maintenant.
Elodie Mandel (Closer.fr)
Désirant être "utile" avant tout, elle dessine peu à peu sa vision de son rôle de première dame, un rôle fait de devoirs de représentations, qui n’est pas pris en compte dans la constitution qui ne reconnaît pas d’existence officielle à l’épouse du chef de l’Etat "J'ai tâtonné au début, mais j'ai découvert qu'il n'y avait pas que des contraintes et qu'il y avait aussi des choses à accomplir. J'ai compris qu'on attendait des choses de moi, j'ai compris que je pouvais être utile et ça me touche énormément de savoir que je peux être utile".
Si elle reste journaliste à Match, elle n’assiste plus aux conférences de rédaction et travaille désormais de chez elle. Elle aussi renoncé à animer une émission sur D8. Un double renoncement qui sonne presque comme un sacrifice dans la bouche de celle qui a construit son identité sur sa carrière de journaliste.
"Ma carrière n'est pas complètement entre parenthèses mais elle n'est plus la priorité", affirme-t-elle aujourd’hui. A la croire, c’en serait donc fini des tweets, petites phrases, et autres caprices… "Appelez-moi comme vous voulez" répond-elle à un journaliste qui rappelle l’une de ses maladresses au micro de France Inter. A Patrick Cohen qui l’interrogeait sur son titre et comment il fallait désormais l’appeler, la first girlfriend répondait "première journaliste de France ou atout coeur de France". Elle l'a promis à François, le changement c'est maintenant.
Elodie Mandel (Closer.fr)