le sens et toutes les formes de danse revistés (Photo: au-senegal.com)
Durant une semaine au cœur de la capitale dakaroise, une trentaine de compagnies de danse professionnelles, semi- professionnelles originaires du Sénégal, d’Afrique, d’Europe et de la Diaspora vont présenter leur travail dans les genres traditionnel, contemporain et urbain.
«Kaay fecc» , le festival international de toutes les danses, a démarré ses activités depuis samedi 30 mai dernier, et ce jusqu’au 05 juin.
Cette année des danseurs et des chorégraphes originaires d’Afrique, d’Europe, des Amériques, de la Diaspora et du Sénégal, viennent croiser leur regard sur la scène du Centre culturel Blaise Senghor. Qu’elle soit contemporaine, traditionnelle ou urbaine, la danse prouve à nouveau son engagement, son utilité, son universalité et son désir d’être, d’où le thème de cette 5ème édition : « être ou paraître ».
Le festival ««Kaay fecc» » fait d’abord appel à l’action, à la transformation corporelle en message de paix, de tolérance et la réflexion face aux nouvelles mutations sociales.
«Kaay fecc» est un festival unique en son genre qui a une marque propre et une programmation hors du commun à chaque édition. Et ce n’est pas par hasard qu’il a été Lauréat, «Meilleur festival», Prix d’excellence de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) en 2008.
La direction artistique du festival veut ravir le public du Sénégal. Pour cela, elle a fait preuve, depuis la première édition, d’imagination et de créativité.
«Nous nous battons pour que la danse soit au cœur du développement de notre pays», a confirmé le directeur artistique Jean Tamba.
La danse est un art ancien et moderne. C’est un savoir puissant qui permet de dialoguer entre danseurs et batteurs sans autre interférence que celui du son. Les mouvements sont des mots que se disent les danseurs de façon implicite.
Le danseur, transmetteur de passion et de dignité humaine, véhicule un message humain qui fait éclater les barrières sociales.
Le festival a aussi prévu cette année, des activités telles que des projections de films et documentaires et de nombreux stands seront disponibles au village du festival. Une plateforme Festival Mondial des Arts Nègres (Fesman III) est également a été organisée ce samedi après-midi. Une occasion pour présenter les enjeux de la troisième édition de cet événement culturel mondial.
A côté de cela, des ateliers vont se dérouler au centre et chacun sera dirigé par un professionnel du milieu. Il y aura, en effet, un atelier de danses traditionnelles du Sénégal, un atelier de danse Hip Hop, un autre de danse contemporaine, un atelier Danses et Handicap pour enfants, et enfin un atelier Son et Lumières.
Didier Awadi, Duggy Tee, et Matador vont faire acte de reconnaissance au festival «Kaay fecc», en étant les parrains de cette cinquième édition.
«Kaay fecc» , le festival international de toutes les danses, a démarré ses activités depuis samedi 30 mai dernier, et ce jusqu’au 05 juin.
Cette année des danseurs et des chorégraphes originaires d’Afrique, d’Europe, des Amériques, de la Diaspora et du Sénégal, viennent croiser leur regard sur la scène du Centre culturel Blaise Senghor. Qu’elle soit contemporaine, traditionnelle ou urbaine, la danse prouve à nouveau son engagement, son utilité, son universalité et son désir d’être, d’où le thème de cette 5ème édition : « être ou paraître ».
Le festival ««Kaay fecc» » fait d’abord appel à l’action, à la transformation corporelle en message de paix, de tolérance et la réflexion face aux nouvelles mutations sociales.
«Kaay fecc» est un festival unique en son genre qui a une marque propre et une programmation hors du commun à chaque édition. Et ce n’est pas par hasard qu’il a été Lauréat, «Meilleur festival», Prix d’excellence de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) en 2008.
La direction artistique du festival veut ravir le public du Sénégal. Pour cela, elle a fait preuve, depuis la première édition, d’imagination et de créativité.
«Nous nous battons pour que la danse soit au cœur du développement de notre pays», a confirmé le directeur artistique Jean Tamba.
La danse est un art ancien et moderne. C’est un savoir puissant qui permet de dialoguer entre danseurs et batteurs sans autre interférence que celui du son. Les mouvements sont des mots que se disent les danseurs de façon implicite.
Le danseur, transmetteur de passion et de dignité humaine, véhicule un message humain qui fait éclater les barrières sociales.
Le festival a aussi prévu cette année, des activités telles que des projections de films et documentaires et de nombreux stands seront disponibles au village du festival. Une plateforme Festival Mondial des Arts Nègres (Fesman III) est également a été organisée ce samedi après-midi. Une occasion pour présenter les enjeux de la troisième édition de cet événement culturel mondial.
A côté de cela, des ateliers vont se dérouler au centre et chacun sera dirigé par un professionnel du milieu. Il y aura, en effet, un atelier de danses traditionnelles du Sénégal, un atelier de danse Hip Hop, un autre de danse contemporaine, un atelier Danses et Handicap pour enfants, et enfin un atelier Son et Lumières.
Didier Awadi, Duggy Tee, et Matador vont faire acte de reconnaissance au festival «Kaay fecc», en étant les parrains de cette cinquième édition.