Ce qu'il faut particulièrement retenir des entraînements du Sénégal à la veille du match face au Japon, à Ekaterinbourg ? L'ambiance au sein du groupe est excellente et la victoire des Lions de la Teranga contre la Pologne n’en est pas la seule raison. "On a la chance d’avoir un collectif où les 23 joueurs, s’entendent vraiment bien, même avec le staff. On arrive à rigoler. Il y a une ambiance saine, pas de jalousie. Je considère, toutes les personnes ici sont comme mes frères", assure Mbaye Niang, deuxième buteur contre les Polonais..
Une joie collective - et communicative - qui s’est vue au coup de sifflet final du match inaugural. "Les danses ? Franchement, il n’y a pas de préparation. Quand j’ai marqué, j’ai juste vu dans le regard de Salif Sané et d’Idrissa Gana Guèye, qu’il fallait qu’on fasse un truc. C’est dans notre ADN africain, je pense que c’est Roger Milla, dans les années 1990, qui a lancé cette mode, depuis on suit la tendance", suggère Niang, tout sourire.
Même le sélectionneur Aliou Cissé est de cet avis. "Le football, c’est 95% de travail et 5% de fun. On a le droit de rire de temps en temps. On dit qu'on ‘joue’ au football, donc avec le verbe jouer, il y a cette notion de plaisir", précise celui qui était de l’aventure sénégalaise en 2002, où le plaisir était l’ingrédient principal du succès.
La cohésion de groupe a d’ailleurs facilité l’intégration de Niang, même s’il a lui-même fait le nécessaire pour ne pas perturber l’équilibre du vestiaire. "Je n’ai pour l’instant que neuf sélections, et si j’ai eu une adaptation facile c’est grâce au groupe. Ils travaillent ensemble depuis trois ans, je suis arrivé en cours de chemin. Je me suis fait tout petit. J’ai juste cherché à apporter avec humilité mes qualités", insiste-t-il. "Les cadres comme Pape Alioune Ndiaye, Cheikhou Kouyaté et Sadio Mané ont fait en sorte que je m'intègre bien et je les en remercie.”
Une joie collective - et communicative - qui s’est vue au coup de sifflet final du match inaugural. "Les danses ? Franchement, il n’y a pas de préparation. Quand j’ai marqué, j’ai juste vu dans le regard de Salif Sané et d’Idrissa Gana Guèye, qu’il fallait qu’on fasse un truc. C’est dans notre ADN africain, je pense que c’est Roger Milla, dans les années 1990, qui a lancé cette mode, depuis on suit la tendance", suggère Niang, tout sourire.
Même le sélectionneur Aliou Cissé est de cet avis. "Le football, c’est 95% de travail et 5% de fun. On a le droit de rire de temps en temps. On dit qu'on ‘joue’ au football, donc avec le verbe jouer, il y a cette notion de plaisir", précise celui qui était de l’aventure sénégalaise en 2002, où le plaisir était l’ingrédient principal du succès.
La cohésion de groupe a d’ailleurs facilité l’intégration de Niang, même s’il a lui-même fait le nécessaire pour ne pas perturber l’équilibre du vestiaire. "Je n’ai pour l’instant que neuf sélections, et si j’ai eu une adaptation facile c’est grâce au groupe. Ils travaillent ensemble depuis trois ans, je suis arrivé en cours de chemin. Je me suis fait tout petit. J’ai juste cherché à apporter avec humilité mes qualités", insiste-t-il. "Les cadres comme Pape Alioune Ndiaye, Cheikhou Kouyaté et Sadio Mané ont fait en sorte que je m'intègre bien et je les en remercie.”
Des propos aussi relayés par Amsatou Fall, le directeur technique de la ligue professionnelle, qui accompagne les Lions de la Téranga en Russie. “J’ai rarement vu un groupe aussi fort, aussi soudé, avec beaucoup d’ambition et un encadrement sportif autour d’eux qui est bon. Je pense sincèrement que très peu choses ont été laissées au hasard", garantit le dirigeant. "Je les vois travailler, je vois énormément de professionnalisme dans le système de fonctionnement d’Aliou Cissé. Maintenant il n’y a plus qu’à…"
Un résultat positif contre le Japon lui donnerait raison et rapprocherait les Sénégalais de la qualification. Mais gare à la dispersion "On va aborder ce match comme celui contre la Pologne : avec discipline, rigueur et solidarité. On s’attend à un match difficile contre un adversaire qui a un style de jeu bien particulier, basé sur la vivacité", admet l’attaquant du Torino. "Nous sommes conscients que nous avons encore une certaine marge de progression. Mais, nous avons vraiment envie de montrer au monde ce que le Sénégal est capable de faire, et continuer sur notre lancée." On en a déjà eu une petite idée : marquer gagner et danser.
Fifa.com
Un résultat positif contre le Japon lui donnerait raison et rapprocherait les Sénégalais de la qualification. Mais gare à la dispersion "On va aborder ce match comme celui contre la Pologne : avec discipline, rigueur et solidarité. On s’attend à un match difficile contre un adversaire qui a un style de jeu bien particulier, basé sur la vivacité", admet l’attaquant du Torino. "Nous sommes conscients que nous avons encore une certaine marge de progression. Mais, nous avons vraiment envie de montrer au monde ce que le Sénégal est capable de faire, et continuer sur notre lancée." On en a déjà eu une petite idée : marquer gagner et danser.
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