«Dès cet après-midi (hier), nous allons saisir la Cour Suprême par une déclaration de pourvoi en cassation», a déclaré Me Seydou Diagne, qui se prononçait sur le verdict de la Crei». Et l’avocat d’enchainer : «C’est une honte judiciaire que l’un des procès les plus importants de l’histoire judiciaire de l’histoire du Sénégal ne puisse pas être repris par la voie d’appel ou les arguments des uns et des autres sont discutées par une juridiction plus expérimentées qui reprend le procès».
Cet avis est partagé par Me Demba Ciré Bathily qui à son tour dénonce un verdict prononcé par un tribunal qui a montré toute son insuffisance : «jusqu’à présent nous avons été jugé par la Crei. A partir d’aujourd’hui, nous allons faire juger la Crei et vous verrez les résultats».
Me Ciré Clédor Ly, à son tour, promet d’aller encore plus loin en internationalisant leur combat : «La décision rendue n’est que début du combat. Nous n’avons jamais rien espéré obtenir quoi que ce soit dans ce pays», révèle-t-il, avant de poursuivre : «le combat vient de commencer. Sur le plan national et international, nous avons une voie de recours sur la décision qui a été rendue. Nous savons que si les juges essaient d’exécuter leur décision, nous aurons des voies de recours sur le plan international qui ne sont pas épuisées».
Cet avis est partagé par Me Demba Ciré Bathily qui à son tour dénonce un verdict prononcé par un tribunal qui a montré toute son insuffisance : «jusqu’à présent nous avons été jugé par la Crei. A partir d’aujourd’hui, nous allons faire juger la Crei et vous verrez les résultats».
Me Ciré Clédor Ly, à son tour, promet d’aller encore plus loin en internationalisant leur combat : «La décision rendue n’est que début du combat. Nous n’avons jamais rien espéré obtenir quoi que ce soit dans ce pays», révèle-t-il, avant de poursuivre : «le combat vient de commencer. Sur le plan national et international, nous avons une voie de recours sur la décision qui a été rendue. Nous savons que si les juges essaient d’exécuter leur décision, nous aurons des voies de recours sur le plan international qui ne sont pas épuisées».