A l’occasion de l’inauguration du monument de la renaissance le gouvernement du Sénégal, les partisans et souteneurs du Présidents ont mobilisé des moyens matériels et humains pour rendre à l’événement toute son ampleur. La mobilisation était grande et les hommes de tenues étaient venus en masse pour assurer la sécurité. Il le fallait avec une quinzaine de chefs d’Etat comme entre autres, Blaise Compaoré, Amadou Toumani Touré, Yaya Jammeh, Ali Bongo… mais aussi de fortes personnalités comme Jessie Jackson et Akon.
Dés qu’on entre dans le quartier de Ouakam on sent la tenue d’une manifestation de grande envergure dans le milieu. Des populations venant de tous les horizons habillées en tissus portant l’effigie du Président de la République Abdoulaye Wade ou l’image du monument de la renaissance. Des hommes et des femmes descendent des cars rapides, des cars «ndiaga ndiaye», de bus de transports et de voitures de particuliers, se dirigent vers la porte du monument de la renaissance.
Des enfants composés d’élèves des écoles primaires et de collégiens qui ont porté des T-shirts sur lesquels sont inscrits «inauguration du monument de la renaissance le 03 avril». Il s’agit de filles et de garçons dont la moyenne d’âge tourne autour de 10 à 15 ans.
La musique, les rythmes des tam-tams et des chants traditionnels raisonnent. Des artistes sénégalais parmi les quels des danseurs et des chanteurs scandent les louanges de certains dirigeants du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Sur des voitures certains militants crient «vive Wade 2012». Au même moment certains soulèvent des pancartes sur lesquelles se trouvent des photos du leader de la Génération du Concret (GC) Karim Wade.
A la porte d’entrée de l’édifice, des populations sont en rang pour passer à travers les barrières afin de rejoindre l’intérieur. Les policiers chargés de la sécurité s’activent et certains font des tours pour vérifier s’il n’ya pas d’incidents qui nécessitent une intervention. Les entrées étaient filtrées et seuls ceux qui avaient des badges ou portaient des tenues confectionnées pour la circonstance accédaient à l’intérieur.
De l’extérieur apparaissaient des tentes sous lesquels sont assis les invités. Les drapeaux des pays des chefs d’Etat présents à la cérémonie ont été distribués à la foule.
A la fin des discours quelques représentations devaient mettre fin à la fête. Ce sont notamment une petite présentation de la pièce de théâtre, la tragédie du Roi Christophe d’Aimé Césaire et l’interprétation de l’hymne de la renaissance africaine écrit par Me Wade en wolof, anglais, français et arabe.
Dés qu’on entre dans le quartier de Ouakam on sent la tenue d’une manifestation de grande envergure dans le milieu. Des populations venant de tous les horizons habillées en tissus portant l’effigie du Président de la République Abdoulaye Wade ou l’image du monument de la renaissance. Des hommes et des femmes descendent des cars rapides, des cars «ndiaga ndiaye», de bus de transports et de voitures de particuliers, se dirigent vers la porte du monument de la renaissance.
Des enfants composés d’élèves des écoles primaires et de collégiens qui ont porté des T-shirts sur lesquels sont inscrits «inauguration du monument de la renaissance le 03 avril». Il s’agit de filles et de garçons dont la moyenne d’âge tourne autour de 10 à 15 ans.
La musique, les rythmes des tam-tams et des chants traditionnels raisonnent. Des artistes sénégalais parmi les quels des danseurs et des chanteurs scandent les louanges de certains dirigeants du Parti Démocratique Sénégalais (PDS). Sur des voitures certains militants crient «vive Wade 2012». Au même moment certains soulèvent des pancartes sur lesquelles se trouvent des photos du leader de la Génération du Concret (GC) Karim Wade.
A la porte d’entrée de l’édifice, des populations sont en rang pour passer à travers les barrières afin de rejoindre l’intérieur. Les policiers chargés de la sécurité s’activent et certains font des tours pour vérifier s’il n’ya pas d’incidents qui nécessitent une intervention. Les entrées étaient filtrées et seuls ceux qui avaient des badges ou portaient des tenues confectionnées pour la circonstance accédaient à l’intérieur.
De l’extérieur apparaissaient des tentes sous lesquels sont assis les invités. Les drapeaux des pays des chefs d’Etat présents à la cérémonie ont été distribués à la foule.
A la fin des discours quelques représentations devaient mettre fin à la fête. Ce sont notamment une petite présentation de la pièce de théâtre, la tragédie du Roi Christophe d’Aimé Césaire et l’interprétation de l’hymne de la renaissance africaine écrit par Me Wade en wolof, anglais, français et arabe.