
Les membres de la chambre basse du parlement gabonais votent la dépénalisation de l'homosexualité.
Si la proposition est approuvée par la chambre haute et le président, le Gabon pourrait devenir l'un des rares pays d'Afrique subsaharienne à inverser une loi qui punit les relations sexuelles entre personnes du même sexe.
L'année dernière, ce pays d'Afrique centrale a criminalisé l'homosexualité et a rendu les relations sexuelles entre homosexuels passibles de six mois de prison et d'une forte amende.
Les activistes déclarent que cela avait poussé la communauté LGBT, en proie au harcèlement, à se réfugier dans la clandestinité.
Quarante-huit membres du Parlement soutiennent maintenant la proposition de modifier la loi de 2019 et de lever l'interdiction ; la moitié d'entre eux se sont opposés à l'amendement.
Le mariage homosexuel n'est toujours pas autorisé au Gabon, où l'homosexualité est encore largement considérée comme un tabou.
Un député en faveur du maintien de l'interdiction déclare que les législateurs qui avaient voté pour légaliser 'homosexualité avaient ébranlé les coutumes et les traditions de la nation.
Plus de la moitié des pays d'Afrique subsaharienne (28) disposent de législations interdisant ou réprimant l'homosexualité.
Pourtant le Botswana, l'Angola, le Mozambique et les Seychelles ont légalisé, ces dernières années les relations entre personnes de même sexe, à l'instar du Lesotho, de la République démocratique du Congo, de la Côte d'Ivoire ou encore du Mali.
Si la proposition est approuvée par la chambre haute et le président, le Gabon pourrait devenir l'un des rares pays d'Afrique subsaharienne à inverser une loi qui punit les relations sexuelles entre personnes du même sexe.
L'année dernière, ce pays d'Afrique centrale a criminalisé l'homosexualité et a rendu les relations sexuelles entre homosexuels passibles de six mois de prison et d'une forte amende.
Les activistes déclarent que cela avait poussé la communauté LGBT, en proie au harcèlement, à se réfugier dans la clandestinité.
Quarante-huit membres du Parlement soutiennent maintenant la proposition de modifier la loi de 2019 et de lever l'interdiction ; la moitié d'entre eux se sont opposés à l'amendement.
Le mariage homosexuel n'est toujours pas autorisé au Gabon, où l'homosexualité est encore largement considérée comme un tabou.
Un député en faveur du maintien de l'interdiction déclare que les législateurs qui avaient voté pour légaliser 'homosexualité avaient ébranlé les coutumes et les traditions de la nation.
Plus de la moitié des pays d'Afrique subsaharienne (28) disposent de législations interdisant ou réprimant l'homosexualité.
Pourtant le Botswana, l'Angola, le Mozambique et les Seychelles ont légalisé, ces dernières années les relations entre personnes de même sexe, à l'instar du Lesotho, de la République démocratique du Congo, de la Côte d'Ivoire ou encore du Mali.
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