Une initiative visant à réduire le mandat des présidents des pays africains à deux est en réflexion. L’acte de mort des présidents à vie dans les pays africains sera donc signé dans les jours à venir. Les présidents des pays africains verront leurs mandats se limiter à deux seulement «pour le respect de la volonté populaire en Afrique». Selon le Président de la Ligue Sénégalaise des droits de l’Homme, Me Assane Dioma Nidaye, ancien président de l'Organisation nationale des droits de l'Homme du Sénégal, ce sera une sorte de principe que nous voulons réaffirmer et qui entrera dans le cadre du combat pour l’irréversibilité du processus démocratique en Afrique.
Il a confié qu’«il s’agira de faire en sorte qu’aucun politique ne pourra désormais faire échec à l’expression de la volonté populaire et que personne ne puisse se servir du pouvoir au détriment de l’intérêt général, qu’on serve d’avantage le pouvoir et qu’on ne se serve pas du pouvoir».
L’avocat d’expliquer: «ce sera un ensemble de principes qui sera lancés par un ensemble d’intellectuel d’homme de la société civile. Il y aura entre autres le principe de la limitation des mandats pour éviter l’usure du pouvoir, la corruption du pouvoir».
Sur la même lancée, le Président de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO), Alioune Tine d’ajouter: «on a vu qu’au-delà de 2 mandats, on a des problèmes en Afrique. Tous les pays, vous les regardez un par un, au-delà de 2 mandats ils ont des problèmes».
Il a confié qu’«il s’agira de faire en sorte qu’aucun politique ne pourra désormais faire échec à l’expression de la volonté populaire et que personne ne puisse se servir du pouvoir au détriment de l’intérêt général, qu’on serve d’avantage le pouvoir et qu’on ne se serve pas du pouvoir».
L’avocat d’expliquer: «ce sera un ensemble de principes qui sera lancés par un ensemble d’intellectuel d’homme de la société civile. Il y aura entre autres le principe de la limitation des mandats pour éviter l’usure du pouvoir, la corruption du pouvoir».
Sur la même lancée, le Président de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l'Homme (RADDHO), Alioune Tine d’ajouter: «on a vu qu’au-delà de 2 mandats, on a des problèmes en Afrique. Tous les pays, vous les regardez un par un, au-delà de 2 mandats ils ont des problèmes».