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Pour la deuxième fois seulement en huit participations, la Corée du Sud pourrait franchir le premier tour de la Coupe du monde. Les Guerriers Taeguk se sont en tous les cas offert les moyens d'y croire fermement puisqu'ils ont battu la Grèce (2-0) lors de leur entrée en lice, samedi à Port-Elizabeth. Les Coréens se positionnent ainsi idéalement dans le groupe B qui comporte aussi l'Argentine et le Nigeria. Si l'on peut imaginer que les joueurs de Maradona sortiront en tête, la Corée du Sud pourrait disputer le second accessit aux Nigérians. Enfin, on en est encore loin mais une chose est certaine, à l'occasion de leur septième participation consécutive au Mondial, les joueurs asiatiques ont fait du bon travail.
Vifs et rapides comme à leur habitude, les Coréens ont rapidement solutionné le problème posé les grands gabarits grecs, maîtres en défenses et dans l'art du contre. Dès la 7e minute, Jung-Soo s'est retrouvé seul au deuxième poteau à la reprise d'un coup franc, et ne s'est pas gêné pour catapulter le ballon au fond des filets de Tzorvas. Un geste qui a rappellé un peu celui de Thierry Henry face au Brésil en quart du Mondial 2006. Park Ji-Sung a doublé la mise en profitant parfaitement d'une erreur de relance de la défense grecque, vraiment pataude. Après avoir récupéré dans l'axe, le joueur de Manchester United a résisté au retour de l'arrière-garde hellène pour s'en aller marquer d'un tir du gauche à contre-pied (52e).
Vexés, les Grecs ont ensuite poussé sans succès, Gekas, Kapetanos et Salpingidis enlevant trop leurs tentatives (68e, 70e, 71e). En quatre matches de Coupe du monde, les champions d'Europe 2004 n'ont toujours pas inscrit le moindre but. Avec un peu plus de réussite, la Corée du Sud aurait même pu s'imposer par un écart plus large mais la réussite a fui le Monégasque Park Chu-Young.
Vifs et rapides comme à leur habitude, les Coréens ont rapidement solutionné le problème posé les grands gabarits grecs, maîtres en défenses et dans l'art du contre. Dès la 7e minute, Jung-Soo s'est retrouvé seul au deuxième poteau à la reprise d'un coup franc, et ne s'est pas gêné pour catapulter le ballon au fond des filets de Tzorvas. Un geste qui a rappellé un peu celui de Thierry Henry face au Brésil en quart du Mondial 2006. Park Ji-Sung a doublé la mise en profitant parfaitement d'une erreur de relance de la défense grecque, vraiment pataude. Après avoir récupéré dans l'axe, le joueur de Manchester United a résisté au retour de l'arrière-garde hellène pour s'en aller marquer d'un tir du gauche à contre-pied (52e).
Vexés, les Grecs ont ensuite poussé sans succès, Gekas, Kapetanos et Salpingidis enlevant trop leurs tentatives (68e, 70e, 71e). En quatre matches de Coupe du monde, les champions d'Europe 2004 n'ont toujours pas inscrit le moindre but. Avec un peu plus de réussite, la Corée du Sud aurait même pu s'imposer par un écart plus large mais la réussite a fui le Monégasque Park Chu-Young.