This browser does not support the video element.
Dernier des favoris à entrer en compétition ce mardi, l’Espagne était très attendue après un titre de championne d’Europe et deux années très convaincantes. Un peu trop attendue peut-être tant les Ibères ont semblé à court de solution pour contourner un bloc suisse très sérieux, appliqué, et surtout moins replié que prévu. Incapables d’accélérer les choses, les champions d’Europe se créaient néanmoins quelques belles occasions, comme ce face à face manqué par Pique après un bon travail préparatoire (24e). Mais la Roja n’était pas encore au sommet de sa forme, à l’image de Silva, qui, lancé sur le côté gauche, semblait avoir fait le plus difficile en crochetant le dernier défenseur, mais hésitait ensuite entre tirer et centre, pour ne faire ni l’un ni l’autre (43e).
Déjà parvenue à tenir 45 minutes alors qu’on leur promettait l’enfer, les Suisses prenaient inévitablement confiance, et allaient trouver le chemin des filets sur leur première situation dangereuse. Derdiyok emmenait tout sur son passage sur une percée plein axe, au point de provoquer un beau cafouillage sur lequel Casillas et Pique perdaient pied, tandis que Fernandes parvenait à s’extirper en deux temps pour pousser le ballon au fond (0-1, 52e) à la grande surprise de tout le Durban Stadium. La domination espagnole se faisait bien sûr encore plus pressante, si cela était possible, mais Benaglio veillait au grain devant Villa (62e), mais voyait avec soulagement une frappe enroulée d’Iniesta passer à ras de son poteau gauche (67e). Xabi Alonso envoyait ensuite un missile sur la barre de Benaglio (71e) mais la Suisse avait une incroyable occasion de 2-0 après un festival de dribble de Derdiyok dans la surface, qui se terminait par une frappe au ralenti de l’attaquant de Leverkusen sur le poteau de Casillas (75e). Navas et Torres entraient en jeu et se montraient immédiatement dangereux mais le « verrou suisse » célèbre dans les années 30, se refermait inévitablement sur la « Roja ».
L’Espagne ne parvenait pas, malgré une possession de balle proche des 70% au final, à trouver le chemin des filets, et devait s’incliner dans ce premier match. Si la qualification n’est pas encore remise en cause, il faudra absolument inverser la tendance face au Honduras pour inévitablement jouer la qualification face au Chili lors de la dernière journée, et peut-être déjà dire adieu à la première place. Inattendu !
Déjà parvenue à tenir 45 minutes alors qu’on leur promettait l’enfer, les Suisses prenaient inévitablement confiance, et allaient trouver le chemin des filets sur leur première situation dangereuse. Derdiyok emmenait tout sur son passage sur une percée plein axe, au point de provoquer un beau cafouillage sur lequel Casillas et Pique perdaient pied, tandis que Fernandes parvenait à s’extirper en deux temps pour pousser le ballon au fond (0-1, 52e) à la grande surprise de tout le Durban Stadium. La domination espagnole se faisait bien sûr encore plus pressante, si cela était possible, mais Benaglio veillait au grain devant Villa (62e), mais voyait avec soulagement une frappe enroulée d’Iniesta passer à ras de son poteau gauche (67e). Xabi Alonso envoyait ensuite un missile sur la barre de Benaglio (71e) mais la Suisse avait une incroyable occasion de 2-0 après un festival de dribble de Derdiyok dans la surface, qui se terminait par une frappe au ralenti de l’attaquant de Leverkusen sur le poteau de Casillas (75e). Navas et Torres entraient en jeu et se montraient immédiatement dangereux mais le « verrou suisse » célèbre dans les années 30, se refermait inévitablement sur la « Roja ».
L’Espagne ne parvenait pas, malgré une possession de balle proche des 70% au final, à trouver le chemin des filets, et devait s’incliner dans ce premier match. Si la qualification n’est pas encore remise en cause, il faudra absolument inverser la tendance face au Honduras pour inévitablement jouer la qualification face au Chili lors de la dernière journée, et peut-être déjà dire adieu à la première place. Inattendu !