Loin du chaud été allemand de 2006, l’Italie a été rappelée à la dure réalité en ce soir frisquet et pluvieux au Cap, face au Paraguay. Sur un terrain rendu glissant et avec un ballon fusant, les Paraguayens s’en sont donnés à cœur joie en multipliant les gestes désespérés et les tacles glissés pour contrer une formation italienne qui prenait d’entrée de jeu les choses à son compte en ce qui concernait la possession du ballon. Résultat, l’Italie ne parvenait pas à prendre à défaut une défense sud-américaine solide surtout sur les coups de pied arrêtés. Une réussite dans cet exercice qui se confirmait de l’autre côté du terrain lorsque, sur un coup-franc excentré, Alcaraz s’élevait plus haut que tout le monde pour battre Buffon d’une tête croisée (0-1, 39e).
A la pause, le seul changement de marque était la sortie de Buffon, probablement blessé. Face à des Paraguayens en confiance, les champions du monde semblaient à court de solution, mais un corner allait tout débloquer. Sur une mauvaise sortie de Villar, De Rossi était le plus prompt à pousser la balle au fond pour égaliser (1-1, 63e). Soulagés, les Italiens reprenaient leur empreinte sur le jeu, surtout que les Paraguayens souffraient des conséquences de leur grande dépense d’énergie. Pepe (80e) puis Montolivo (83e) sollicitaient un Villar impeccable sur deux frappes fusantes. Au final, ce match nul ne faisait véritablement les affaires de personne, même si la Slovaquie et la Nouvelle-Zélande, qui se rencontrent mardi, semblent des adversaires de moindre valeur sur le papier pour contester la qualification de ces deux formations.
Source: Foot01.com
A la pause, le seul changement de marque était la sortie de Buffon, probablement blessé. Face à des Paraguayens en confiance, les champions du monde semblaient à court de solution, mais un corner allait tout débloquer. Sur une mauvaise sortie de Villar, De Rossi était le plus prompt à pousser la balle au fond pour égaliser (1-1, 63e). Soulagés, les Italiens reprenaient leur empreinte sur le jeu, surtout que les Paraguayens souffraient des conséquences de leur grande dépense d’énergie. Pepe (80e) puis Montolivo (83e) sollicitaient un Villar impeccable sur deux frappes fusantes. Au final, ce match nul ne faisait véritablement les affaires de personne, même si la Slovaquie et la Nouvelle-Zélande, qui se rencontrent mardi, semblent des adversaires de moindre valeur sur le papier pour contester la qualification de ces deux formations.
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