Poursuivi pour viol sur un élève en classe de Cm1, le prévenu Toumani Fofana face au juge, indexé le père de la victime comme étant le propre violeur de sa fille. Une accusation confortée par le témoin, Mamadou Diallo.
C’est le père de la victime, Modou Mbaye, qui a déposé une plainte contre Toumani Fofana pour viol sur sa fille, Fatou Mbaye une gamine de 13 berges. Le sieur Fofana qui se trouve être le cousin de la victime a été arrêté, présenté au ministère public qui l’a placé sous mandat de dépôt.
Devant la barre, ce vendredi, la petite fille est revenue sur les circonstances dans lesquelles, son cousin a abusé d’elle. «C’est Toumany Fofana qui m'a violée. Il a profité de l’absence de mes parents pour abuser de moi. Ce jour-là, il m’a entraînée dans le salon, m’a jetée sur le lit, a enlevé mon slip avant de me pénétrer. Je ne pouvais pas crier, car il m’avait bâillonné. Certes, il ne m’a pas menacée mais je ne voulais pas en parler à mes parents. Je pleurais dans mon coin, tout en gardant mon secret », a relevé la petite.
Le certificat médical versé dans le dossier révèle des déchirures hyménéales anciennes. Répondant aux accusations de la petite, Fofana a battu en brèche les accusations portées sur sa personne. Ce célibataire de 38 ans et père d’une petite fille a déclaré urbi orbi qu’il n’est pas l’auteur du viol de sa cousine.
« Son violeur n’est personne d’autre que son propre père. A plusieurs reprise, je l'ai vu en train de lui faire des attouchements sexuels », a révélé le prévenu. Des accusations corroborées par le témoin Mamadou Diallo qui raconte: «Un jour, j’ai surpris Modou Mbaye caresser les cuisses de sa fille. Cette dernière était juste couverte d’une serviette. D’ailleurs, je les prenais même pour un couple». Le père très surpris par ces accusations du prévenu et du témoin, parle de mensonge. Pour lui, ces derniers racontent des mensonges. Il a décidé de porter plainte pour diffamation.
Le procureur n’a pas fait de réquisitions, là où la défense a plaidé la relaxe pure et simple, estimant qu’il n’y pas d’éléments attestant la culpabilité du prévenu. L’affaire est mis en délibéré au 25 avril prochain, souligne «Libération».
C’est le père de la victime, Modou Mbaye, qui a déposé une plainte contre Toumani Fofana pour viol sur sa fille, Fatou Mbaye une gamine de 13 berges. Le sieur Fofana qui se trouve être le cousin de la victime a été arrêté, présenté au ministère public qui l’a placé sous mandat de dépôt.
Devant la barre, ce vendredi, la petite fille est revenue sur les circonstances dans lesquelles, son cousin a abusé d’elle. «C’est Toumany Fofana qui m'a violée. Il a profité de l’absence de mes parents pour abuser de moi. Ce jour-là, il m’a entraînée dans le salon, m’a jetée sur le lit, a enlevé mon slip avant de me pénétrer. Je ne pouvais pas crier, car il m’avait bâillonné. Certes, il ne m’a pas menacée mais je ne voulais pas en parler à mes parents. Je pleurais dans mon coin, tout en gardant mon secret », a relevé la petite.
Le certificat médical versé dans le dossier révèle des déchirures hyménéales anciennes. Répondant aux accusations de la petite, Fofana a battu en brèche les accusations portées sur sa personne. Ce célibataire de 38 ans et père d’une petite fille a déclaré urbi orbi qu’il n’est pas l’auteur du viol de sa cousine.
« Son violeur n’est personne d’autre que son propre père. A plusieurs reprise, je l'ai vu en train de lui faire des attouchements sexuels », a révélé le prévenu. Des accusations corroborées par le témoin Mamadou Diallo qui raconte: «Un jour, j’ai surpris Modou Mbaye caresser les cuisses de sa fille. Cette dernière était juste couverte d’une serviette. D’ailleurs, je les prenais même pour un couple». Le père très surpris par ces accusations du prévenu et du témoin, parle de mensonge. Pour lui, ces derniers racontent des mensonges. Il a décidé de porter plainte pour diffamation.
Le procureur n’a pas fait de réquisitions, là où la défense a plaidé la relaxe pure et simple, estimant qu’il n’y pas d’éléments attestant la culpabilité du prévenu. L’affaire est mis en délibéré au 25 avril prochain, souligne «Libération».