Il a fallu plus de 3 heures d’horloge aux juges du Tribunal de grande instance de Kaolack pour saisir le fond du dossier concernant l’affaire de viol sur une mineure de moins de 13 ans. M. Diédhiou est accusé d’avoir eu des assauts sexuels répétés sur son élève en calasse de 5ème F F. Ce qui a causé à cette dernière une lésion inflammatoire péri lunaire. Les faits remontent au 6 janvier 2017 à Guinguinéo.
De cette relation, l’élève souffrira d’une pathologie qui en plus de la rupture de l’hymen, lui a causé un problème urinaire d’après sa mère, Ami Mbodji, présente à la barre du tribunal. Ce qui se manifeste par une odeur urinaire persistante dégagé par sa fille.
Toutefois, le prévenu a balayé d’un revers de main ce que lui reproche son potache. A en croire M. Diédhiou, «ce que raconte la fille relève de pures affabulations ».
La justification brandie par la plaignante n’a pas été suffisante au parquetier pour se faire une religion sur cette affaire. Il faut chercher la preuve d’une conjonction sexuelle pour véritablement asseoir la culpabilité de l’enseignant, a considéré le maître des poursuites.
Ecartant la thèse de l’agression, il a requalifié les faits en acte de pédophilie et d’atteinte à la pudeur sur une mineure de moins de 16 ans. Le délibéré est fixé au 15 février 2017, livre « L’As ».
De cette relation, l’élève souffrira d’une pathologie qui en plus de la rupture de l’hymen, lui a causé un problème urinaire d’après sa mère, Ami Mbodji, présente à la barre du tribunal. Ce qui se manifeste par une odeur urinaire persistante dégagé par sa fille.
Toutefois, le prévenu a balayé d’un revers de main ce que lui reproche son potache. A en croire M. Diédhiou, «ce que raconte la fille relève de pures affabulations ».
La justification brandie par la plaignante n’a pas été suffisante au parquetier pour se faire une religion sur cette affaire. Il faut chercher la preuve d’une conjonction sexuelle pour véritablement asseoir la culpabilité de l’enseignant, a considéré le maître des poursuites.
Ecartant la thèse de l’agression, il a requalifié les faits en acte de pédophilie et d’atteinte à la pudeur sur une mineure de moins de 16 ans. Le délibéré est fixé au 15 février 2017, livre « L’As ».