Venue passer des vacances au Sénégal, la petite Ashley, de nationalité américaine serait victime d’un viol et indexe D. Camara comme son bourreau. Ce dernier à d’ailleurs comparu, mercredi au tribunal de Grande Instance de Dakar pour fait de viol.
Le prévenu est le concierge de l’immeuble dans lequel logent la victime et sa mère. La partie civile raconte que le jour des faits, la maman de la victime s’est rendue au port de Dakar pour accomplir des formalités liées à son commerce. Cependant le gardien de l’immeuble a profité de cette absence pour s’introduire dans l’immeuble.
Il trouva la petite dans l’un des chambres allongée sur son lit, écoutant de la musique. Il sauté sur sa « proie » et commence à la déshabiller. La fille se débat comme un diable, déchire ses cordes vocales pour ameuter le voisinage. En vain.
« Il a réussi à me maîtriser. Il a enlevé mon pantalon pour me pénétrer. Il m’a même violentée en me donnant des claques », raconte la victime, assistée par sa mère qui s’est constituée partie civile dans cette affaire. Elle s’en est ouverte à sa mère dès qu’elle est rentrée. Une plainte a été déposée et le mis en cause arrêté.
Devant le prétoire, D. Camara a battu en brèche les accusations portées sur sa personne. Le maitre des poursuites a requis la peine maximale en matière de viol. Là où le conseil de la défense a plaidé la relaxe pure et simple de son client. Car, à son avis, il n’y a dans le dossier aucun élément attestant que c’est sont client qui a abusé de la fillette. Il connaîtra son sort le 9 octobre prochain, rapporte « Libération ».
Le prévenu est le concierge de l’immeuble dans lequel logent la victime et sa mère. La partie civile raconte que le jour des faits, la maman de la victime s’est rendue au port de Dakar pour accomplir des formalités liées à son commerce. Cependant le gardien de l’immeuble a profité de cette absence pour s’introduire dans l’immeuble.
Il trouva la petite dans l’un des chambres allongée sur son lit, écoutant de la musique. Il sauté sur sa « proie » et commence à la déshabiller. La fille se débat comme un diable, déchire ses cordes vocales pour ameuter le voisinage. En vain.
« Il a réussi à me maîtriser. Il a enlevé mon pantalon pour me pénétrer. Il m’a même violentée en me donnant des claques », raconte la victime, assistée par sa mère qui s’est constituée partie civile dans cette affaire. Elle s’en est ouverte à sa mère dès qu’elle est rentrée. Une plainte a été déposée et le mis en cause arrêté.
Devant le prétoire, D. Camara a battu en brèche les accusations portées sur sa personne. Le maitre des poursuites a requis la peine maximale en matière de viol. Là où le conseil de la défense a plaidé la relaxe pure et simple de son client. Car, à son avis, il n’y a dans le dossier aucun élément attestant que c’est sont client qui a abusé de la fillette. Il connaîtra son sort le 9 octobre prochain, rapporte « Libération ».