Près de 300 personnes ont participé à cette rencontre, parmi lesquelles des responsables gouvernementaux, des diplomates, des représentants des Nations Unies, des leaders de la société civile, des jeunes activistes et des artistes. Tous se sont réunis autour du thème : "Vers les 30 ans de la Déclaration et du Programme d’Action de Beijing : S’unir pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes".
Cette campagne internationale vise à "sensibiliser et à galvaniser l’action pour mettre fin aux violences faites aux femmes et aux filles dans le monde entier", comme l'indique le Centre d'information des Nations Unies (CINU).
Lors de son allocution, Madame Maimouna Dièye a insisté sur la responsabilité collective dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles au Sénégal. "Ce moment dépasse le cadre d’une simple cérémonie. Il s'agit d'un appel à l’action contre un fléau qui nous concerne tous : la violence", a déclaré la ministre. Elle a appuyé ses propos avec des statistiques pour souligner la gravité de la situation. Selon Madame Dièye, "trois femmes sur dix au Sénégal ont subi des violences au cours de l’année écoulée", ce qui constitue une préoccupation majeure, surtout à la lumière des récents incidents, notamment le viol d’une jeune fille de 13 ans et des cas de violence conjugale à Matam.
"Évidemment, en tant qu’épouse, en tant que mère ou simplement en tant qu’être humain, ces cas nous touchent profondément. Nous devons tous ensemble redoubler d’efforts dans la sensibilisation et le plaidoyer pour l’éradication de la violence, qu’elle vienne d’où elle vienne, mais particulièrement contre les femmes et les filles", a-t-elle encouragé.
Cette campagne internationale vise à "sensibiliser et à galvaniser l’action pour mettre fin aux violences faites aux femmes et aux filles dans le monde entier", comme l'indique le Centre d'information des Nations Unies (CINU).
Lors de son allocution, Madame Maimouna Dièye a insisté sur la responsabilité collective dans la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles au Sénégal. "Ce moment dépasse le cadre d’une simple cérémonie. Il s'agit d'un appel à l’action contre un fléau qui nous concerne tous : la violence", a déclaré la ministre. Elle a appuyé ses propos avec des statistiques pour souligner la gravité de la situation. Selon Madame Dièye, "trois femmes sur dix au Sénégal ont subi des violences au cours de l’année écoulée", ce qui constitue une préoccupation majeure, surtout à la lumière des récents incidents, notamment le viol d’une jeune fille de 13 ans et des cas de violence conjugale à Matam.
"Évidemment, en tant qu’épouse, en tant que mère ou simplement en tant qu’être humain, ces cas nous touchent profondément. Nous devons tous ensemble redoubler d’efforts dans la sensibilisation et le plaidoyer pour l’éradication de la violence, qu’elle vienne d’où elle vienne, mais particulièrement contre les femmes et les filles", a-t-elle encouragé.