Les violences basées sur le genre persistent à Pikine, malgré les efforts consentis par les autorités et acteurs communautaires. Cette semaine, trois (3) cas de viol ont été enregistrés selon Adama Ndione Dia, responsable du service communautaire du département de Pikine. « Nous avons été saisis dans le cas du CDPE, les mis en cause ont été gardés à vue. Il y a l’autre qui est en cavale et qu'’on est en train de rechercher. Dans le département, en une semaine, 3 enfants de 3 ans ont été victimes d’abus sexuel », dit-elle.
Selon Adama Ndione Dia, « Dans tous les pays du monde, très souvent, nous savons que les violences sont favorisées par la pauvreté. Au pied levé comme ça, je n’ai pas de statistiques. Il y a un manque de communication entre la mère et ses enfants. Une commune très populeux où règne la précarité, la pauvreté, la précarité de l’habitat, qui font que souvent, il y a cette proximité-là. Et même l’absence de surveillance des enfants qui fait que souvent, on a ces problèmes de violence sur les enfants surtout les fillettes ».
Toutefois, précise Madame Dia, « nous avons jugé organiser cette mobilisation sociale, pour amener les autorités, administratives, locales, religieuses et coutumières, plus les associations de femmes, les leaders d’opinion, à s’investir dans ce combat, à aider à lutter contre la discrimination à l’égard des femmes ».
Selon Adama Ndione Dia, « Dans tous les pays du monde, très souvent, nous savons que les violences sont favorisées par la pauvreté. Au pied levé comme ça, je n’ai pas de statistiques. Il y a un manque de communication entre la mère et ses enfants. Une commune très populeux où règne la précarité, la pauvreté, la précarité de l’habitat, qui font que souvent, il y a cette proximité-là. Et même l’absence de surveillance des enfants qui fait que souvent, on a ces problèmes de violence sur les enfants surtout les fillettes ».
Toutefois, précise Madame Dia, « nous avons jugé organiser cette mobilisation sociale, pour amener les autorités, administratives, locales, religieuses et coutumières, plus les associations de femmes, les leaders d’opinion, à s’investir dans ce combat, à aider à lutter contre la discrimination à l’égard des femmes ».
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