Les scènes de violence observées au cours de cette première semaine de campagne électorale ont suscité la réaction du Président Bassirou Diomaye Faye. De retour à Dakar après une visite officielle en Arabie Saoudite et en Turquie, il a réaffirmé son souhait d'une campagne apaisée en vue des législatives du 17 novembre 2024. Le chef de l'État a insisté sur le fait que la justice accomplira son devoir.
« La violence n’a pas sa place dans le champ politique et ce n’est pas ainsi que nous devons régler nos divergences cela les acteurs politiques doivent le comprendre de façon définitive », a déclaré le chef de l’Etat.
Il a souligné que ceux responsables de ces actes de violence devront en répondre.
« Il a été noté évidemment et il faut le regretter des actes de violences par ci et par là. Il n’est pas admissible qu’un camp quel qu’il soit puisse en prendre un autre. Les responsables de ces violences devront assumer cette responsabilité devant la loi avec laquelle ils sont entrés en conflit », a averti le Président Faye.
« J’ai instruit le ministre de la Justice de laisser la justice faire son travail en toute sérénité sans parti pris et sans précipitation mais surtout sans faiblesse », a ajouté le chef de l’Etat.
« La violence n’a pas sa place dans le champ politique et ce n’est pas ainsi que nous devons régler nos divergences cela les acteurs politiques doivent le comprendre de façon définitive », a déclaré le chef de l’Etat.
Il a souligné que ceux responsables de ces actes de violence devront en répondre.
« Il a été noté évidemment et il faut le regretter des actes de violences par ci et par là. Il n’est pas admissible qu’un camp quel qu’il soit puisse en prendre un autre. Les responsables de ces violences devront assumer cette responsabilité devant la loi avec laquelle ils sont entrés en conflit », a averti le Président Faye.
« J’ai instruit le ministre de la Justice de laisser la justice faire son travail en toute sérénité sans parti pris et sans précipitation mais surtout sans faiblesse », a ajouté le chef de l’Etat.