La violence perpétrée hier dans les heurts opposant le camp de Laurent Gbagbo à celui de Alassane Ouattara avec un bilan de près de 30 personnes selon certaines sources inquiète. C’est la raison pour laquelle la Rencontre africaine des droits de l’Homme et Amnesty international exigent l’ouverture de poursuites contre les responsables de la violence meurtrière en Côte d’Ivoire.
Dans un communiqué qui nous est parvenu, ces organisations des droits de l’homme condamnent avec la dernière énergie les violences des éléments des forces de défense et de sécurité, loyales à Laurent Gbagbo sur les partisans de Alassane Dramane Ouattara.
Il faut noter qu’hier, le camp de Alassane Ouattara avait appelé ses partisans à marcher pour prendre possession de la radio télévision.
Quelques heures avant, le Procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo, avait averti que des poursuites seraient entamées en cas de violences meurtrières. C’est pourquoi, ces deux organisations des droits de ‘homme appellent le patron de la CPI à agir.
Par ailleurs, la RADDHO recommande au Conseil de Sécurité de transformer le mandat de l'Organisation des Nations-unies pour la Côte d'Ivoire (ONUCI) pour permettre à la mise en œuvre de la volonté clairement exprimée par le peuple ivoirien à l'issue des élections du 28 novembre 2010, certifiées par les Nations-unies.
Dans un communiqué qui nous est parvenu, ces organisations des droits de l’homme condamnent avec la dernière énergie les violences des éléments des forces de défense et de sécurité, loyales à Laurent Gbagbo sur les partisans de Alassane Dramane Ouattara.
Il faut noter qu’hier, le camp de Alassane Ouattara avait appelé ses partisans à marcher pour prendre possession de la radio télévision.
Quelques heures avant, le Procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo, avait averti que des poursuites seraient entamées en cas de violences meurtrières. C’est pourquoi, ces deux organisations des droits de ‘homme appellent le patron de la CPI à agir.
Par ailleurs, la RADDHO recommande au Conseil de Sécurité de transformer le mandat de l'Organisation des Nations-unies pour la Côte d'Ivoire (ONUCI) pour permettre à la mise en œuvre de la volonté clairement exprimée par le peuple ivoirien à l'issue des élections du 28 novembre 2010, certifiées par les Nations-unies.